44/171 1343 - La symbolique du Quatre-cent-vingt-et-un, une allégorie de la guerre des deux Jeanne
Fichier | 1343-la-partie-de-des.jpg |
Date | 20/04/2019 |
Description | Le Quatre-cent-vingt-et-un est bien connu au Moyen-âge, en témoignent indirectement les représentations de sa suite opposée, le six-cent-cinquante-trois sur bon nombre d’œuvres dont la tapisserie de l’Apocalypse. Le Quatre-cent-vingt-et-un est la suite parfaite dont le total est le chiffre symbolique sept ; six-cent-cinquante-trois symbolise la tricherie. En France, les jeux de hasard sont même interdits pendant quelques années par une ordonnance du roi. Décision difficile à appliquer, la seule distraction restante et recommandée devenant le maniement des armes afin de préparer la guerre. La guerre de Succession de Bretagne qui dure de 1341 à 1364 porte aussi le nom de guerre des deux Jeanne. Jeanne la Flamme représentant son mari Jean de Montfort, prisonnier du roi de France, fait face à Jeanne de Penthièvre nièce du Duc précédent et épouse de Charles de Blois. Le conflit a lieu sous le regard des rois de France et d’Angleterre chacun soutenant un parti pour la conquête du duché. Les trésors, ducal d’une part et royal français de l’autre, financent une guerre dont la dernière manche se joue à la bataille d’Auray en 1364. Modèles et Costumes : Tyvarlen, Les Tard-Venus et Ar Soudarded Site : Pont-Croix 1358 (29) |
Folio | Bas Moyen-âge (1067-1492) |
Pixels | 7360 x 4912 |
Jpeg | 3 646 Ko |
Image | 105 915 Ko |
Cm/300 dpi | 62.31 x 41.59 cm |