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Bas Moyen-âge (1067-1492)
171 Médias
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28/09/2024
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28/09/2024
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L’hagiographie bretonne (Histoire des saints) de l’époque carolingienne prouve que la Manche était une véritable autoroute au Haut-Moyen-Âge. Bien que fortement chahutées par les vikings à la fin du millénaire, les relations entre bretons et saxons ne se brisèrent pas et les hommes possessionnés des deux côtés de la Manche assuraient régulièrement la traversée afin de protéger leurs intérêts à l’instar de Raoul de Gaël, au début du XIe siècle, vassal du duc de Bretagne et conseiller du roi anglais Edouard le Confesseur puis de Guillaume le Conquérant, et seigneur du comté d’East-Anglia (Norfolk et Suffolk actuels). Le nouveau roi anglo-normand vainqueur à Hastings (1066) récompensa ses alliés Bretons par des centaines de fiefs, comme les Dinan, les Stewart futurs Stuart britanniques. Rapidement, il devenait plus intéressant de s’élever socialement sur la grande île que sur le continent.
Site : Kerlouan
Bateau : Le Brioc avec Ar Soudarded
1067 – Des bretons des deux côtés de la Manche
06/06/2021
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L’hagiographie bretonne de l’époque carolingienne prouve que la Manche était une véritable autoroute au Haut-Moyen-Âge. Bien que fortement chahutées par les vikings à la fin du millénaire, les relations entre bretons et saxons ne se brisèrent pas et les hommes possessionnés des deux côtés de la Manche assuraient régulièrement la traversée afin de protéger leurs intérêts à l’instar de Raoul de Gaël, au début du XIe siècle, vassal du duc de Bretagne et conseiller du roi anglais Edouard le Confesseur puis de Guillaume le Conquérant, et seigneur du comté d’East-Anglia (Norfolk et Suffolk actuels). Le nouveau roi anglo-normand vainqueur à Hastings (1066) récompensa ses alliés Bretons par des centaines de fiefs, comme les Dinan, les Stewart futurs Stuart britanniques. Rapidement, il devenait plus intéressant de s’élever socialement sur la grande île que sur le continent.
Site : Kerlouan
Bateau : Le Brioc avec Ar Soudarded
Au XIème siècle, l'Hôpital-Camfrout est le siège d’un prieuré et d'une aumônerie, dépendant de l'abbaye de Landévennec. L’asile de charité et aumônerie est créé en 1072 en bordure de voie romaine, par Justinius, abbé de Landévennec, sous le nom de Notre-Dame de Caristan. Les moines fondent sans doute un genre d'hostellerie pour héberger les voyageurs qui depuis l'abbaye Saint-Mathieu de Fine-Terre, parfois arrivés d'Irlande et d'Ecosse, se rendent à Landévennec et continuent plus au sud, vers Rocamadour ou Saint-Jacques-de-Compostelle. Vêtu d'une somptueuse chasuble en soie, muni de son tau, symbole de son statut d'abbé, d'un geste il bénit l'établissement.
Site : Village médiéval de Pont-Croix
Modèle et costume : Letavia
1072 - Justinius abbé de Landévennec fonde ND de Caristan à destination des pélerins
03/04/2021
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1090 - Miles de Conan le Tort, comte de Rennes et duc de Bretagne
25/02/2023
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Le but est proche, dominant les méandres de l’Aulne, un moine se dirige vers le monastère de Landévennec, l’un des plus anciens du duché. Attiré par le prestige de l’abbaye, il vient proposer une relique de tout premier ordre, une cloche à main ayant appartenu à un saint homme des premiers temps de la Bretagne chrétienne au Ve ou VIe siècle. Ce type de cloche est une spécificité des pays celtiques, on en trouve en Ecosse, en Irlande, au Pays de Galles et bien sûr en Bretagne où il n’en reste que six aujourd’hui : celle de saint Goulven à Goulien, de saint Ronan à Locronan, de Saint Pol Aurélien à Saint-Pol-de-Léon, de saint Symphorien à Paule, de saint Mériadec à Stival et enfin de saint Guirec conservée aujourd’hui au musée de l’Abbaye de Landévennec. La cloche à main a une importance symbolique pour son propriétaire. Pour autant, aucune de ces cloches n’est contemporaine des saints à qui on les a attribuées. Ces figures du christianisme celtique ont toutes vécu entre le Ve et le VIIe siècles alors que leurs instruments datent entre le IXe et le XIe siècle. Au XIIe siècle, les reliques sont très convoitées et s’arrachent à prix d’or, et leurs vertus miraculeuses propres à soigner la surdité ou les maux de tête assurent la réputation et les revenus d’une église.
Site : Landévennec
Modèle : Letavia avec Pierre Gestin
Costume : Fabrice Esnault
Cloche de saint-Guirec Landévennec XIe siècle
1100 - Cloche à main et fausse relique
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Le but est proche, dominant les méandres de l’Aulne, un moine se dirige vers le monastère de Landévennec, l’un des plus anciens du duché. Attiré par le prestige de l’abbaye, il vient proposer une relique de tout premier ordre, une cloche à main ayant appartenu à un saint homme des premiers temps de la Bretagne chrétienne au Ve ou VIe siècle. Ce type de cloche est une spécificité des pays celtiques, on en trouve en Ecosse, en Irlande, au Pays de Galles et bien sûr en Bretagne où il n’en reste que six aujourd’hui : celle de saint Goulven à Goulien, de saint Ronan à Locronan, de Saint Pol Aurélien à Saint-Pol-de-Léon, de saint Symphorien à Paule, de saint Mériadec à Stival et enfin de saint Guirec conservée aujourd’hui au musée de l’Abbaye de Landévennec. La cloche à main a une importance symbolique pour son propriétaire. Pour autant, aucune de ces cloches n’est contemporaine des saints à qui on les a attribuées. Ces figures du christianisme celtique ont toutes vécu entre le Ve et le VIIe siècles alors que leurs instruments datent entre le IXe et le XIe siècle. Au XIIe siècle, les reliques sont très convoitées et s’arrachent à prix d’or, et leurs vertus miraculeuses propres à soigner la surdité ou les maux de tête assurent la réputation et les revenus d’une église.
Site : Landévennec
Modèle : Letavia avec Pierre Gestin
Costume : Fabrice Esnault
Cloche de saint-Guirec Landévennec XIe siècle
1100 - Cloche à main et fausse relique
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Après cinq ans d’aventure en Orient où les chevaliers ont fondé les Etats latins et pris Jérusalem, vient le temps du retour. Ils ne sont pas tous issus de la haute noblesse, certains sont également des chevaliers-paysans. Les uns s’embarquent pour la Méditerranée, les autres traversent la Syrie et l’Empire byzantin. Le duc Alain IV Fergent revient en Bretagne en août 1101, les autres suivent et « leur retour est regardé comme un miracle ».
Pendant leur absence il a fallu s’occuper des champs, des domaines, des commerces, et les femmes ont vu leur pouvoir grandir au sein de la société féodale. A la tête de leurs fiefs, elles ont été protectrices et diplomates. Au-delà du statut des femmes, les croisades ont modifié bien des aspects de la société occidentale, ouvrant de nouvelles perspectives : l’échange des connaissances, la marine et le commerce des produits d’Orient, l’hygiène, les modes d’habillement et d’alimentation.
Modèles et costumes : Milites Pagenses, Historia Normannis. Cheval : Calypso
Site : Melrand, Village de l’An Mille (56)
1102 - Le retour de croisade
03/02/2019
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Au XIIe siècle, 90% de la société médiévale relève de la paysannerie, Le groupe paysan est constitué de quelques chevaliers-paysans (milites), une minorité de serfs et une grande majorité de paysans libres (vilains). La Bretagne est à l’époque une zone d’habitat dispersé, bordée de terres et de landes incultes, parfois ces zones sont regroupées en frairies comme dans le vannetais. Les fouilles archéologiques du village de Lann Gouh à Melrand ont révélé des activités céréalières et d’élevage. Comme partout en Europe, l’optimum climatique a entraîné une croissance démographique indéniable à partir de 1050 ainsi qu’un développement technologique, notamment en matière de traction animale. La vie y est rythmée par les évènements saisonniers de la nature, le soleil et la liturgie des heures et en septembre vient le temps du labourage et des semailles. Le paysan laboure peu profondément à l’aide d’une charrue (avec roues à la différence de l’araire qui est moins efficace) tractée ici par deux bœufs de petite taille, de race rustique et à cornes courtes.
Figurants : Milites Pagenses
Site : Asnières sur Vègres (72)
1127 - Labour des champs
19/08/2023
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Au XIIe siècle, 90% de la société médiévale relève de la paysannerie, Le groupe paysan est constitué de quelques chevaliers-paysans (milites), une minorité de serfs et une grande majorité de paysans libres (vilains). La Bretagne est à l’époque une zone d’habitat dispersé, bordée de terres et de landes incultes, parfois ces zones sont regroupées en frairies comme dans le vannetais. Les fouilles archéologiques du village de Lann Gouh à Melrand ont révélé des activités céréalières et d’élevage. Comme partout en Europe, l’optimum climatique a entraîné une croissance démographique indéniable à partir de 1050 ainsi qu’un développement technologique, notamment en matière de traction animale. La vie y est rythmée par les évènements saisonniers de la nature, le soleil et la liturgie des heures et en septembre vient le temps du labourage et des semailles. Le paysan laboure peu profondément à l’aide d’une charrue (avec roues à la différence de l’araire qui est moins efficace) tractée ici par deux bœufs de petite taille, de race rustique et à cornes courtes.
Figurants : Milites Pagenses
Site : Asnières sur Vègres (72)
1127 - Labour des champs
19/08/2023
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Au XIIe siècle, 90% de la société médiévale relève de la paysannerie, Le groupe paysan est constitué de quelques chevaliers-paysans (milites), une minorité de serfs et une grande majorité de paysans libres (vilains). La Bretagne est à l’époque une zone d’habitat dispersé, bordée de terres et de landes incultes, parfois ces zones sont regroupées en frairies comme dans le vannetais. Les fouilles archéologiques du village de Lann Gouh à Melrand ont révélé des activités céréalières et d’élevage. Comme partout en Europe, l’optimum climatique a entraîné une croissance démographique indéniable à partir de 1050 ainsi qu’un développement technologique, notamment en matière de traction animale. La vie y est rythmée par les évènements saisonniers de la nature, le soleil et la liturgie des heures et en septembre vient le temps du labourage et des semailles. Le paysan laboure peu profondément à l’aide d’une charrue (avec roues à la différence de l’araire qui est moins efficace) tractée ici par deux bœufs de petite taille, de race rustique et à cornes courtes.
Figurants : Milites Pagenses
Site : Asnières sur Vègres (72)
1127 - Labour des champs
19/08/2023
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Au XIIe siècle, 90% de la société médiévale relève de la paysannerie, Le groupe paysan est constitué de quelques chevaliers-paysans (milites), une minorité de serfs et une grande majorité de paysans libres (vilains). La Bretagne est à l’époque une zone d’habitat dispersé, bordée de terres et de landes incultes, parfois ces zones sont regroupées en frairies comme dans le vannetais. Les fouilles archéologiques du village de Lann Gouh à Melrand ont révélé des activités céréalières et d’élevage. Comme partout en Europe, l’optimum climatique a entraîné une croissance démographique indéniable à partir de 1050 ainsi qu’un développement technologique, notamment en matière de traction animale. La vie y est rythmée par les évènements saisonniers de la nature, le soleil et la liturgie des heures et en septembre vient le temps du labourage et des semailles. Le paysan laboure peu profondément à l’aide d’une charrue (avec roues à la différence de l’araire qui est moins efficace) tractée ici par deux bœufs de petite taille, de race rustique et à cornes courtes.
Figurants : Milites Pagenses
Site : Asnières sur Vègres (72)
1127 - Labour des champs
19/08/2023
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Au XIIe siècle, 90% de la société médiévale relève de la paysannerie, Le groupe paysan est constitué de quelques chevaliers-paysans (milites), une minorité de serfs et une grande majorité de paysans libres (vilains). La Bretagne est à l’époque une zone d’habitat dispersé, bordée de terres et de landes incultes, parfois ces zones sont regroupées en frairies comme dans le vannetais. Les fouilles archéologiques du village de Lann Gouh à Melrand ont révélé des activités céréalières et d’élevage. Comme partout en Europe, l’optimum climatique a entraîné une croissance démographique indéniable à partir de 1050 ainsi qu’un développement technologique, notamment en matière de traction animale. La vie y est rythmée par les évènements saisonniers de la nature, le soleil et la liturgie des heures et en septembre vient le temps du labourage et des semailles. Le paysan laboure peu profondément à l’aide d’une charrue (avec roues à la différence de l’araire qui est moins efficace) tractée ici par deux bœufs de petite taille, de race rustique et à cornes courtes.
Figurants : Milites Pagenses
Site : Asnières sur Vègres (72)
1127 - Labour des champs
19/08/2023
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Au XIIe siècle, 90% de la société médiévale relève de la paysannerie, Le groupe paysan est constitué de quelques chevaliers-paysans (milites), une minorité de serfs et une grande majorité de paysans libres (vilains). La Bretagne est à l’époque une zone d’habitat dispersé, bordée de terres et de landes incultes, parfois ces zones sont regroupées en frairies comme dans le vannetais. Les fouilles archéologiques du village de Lann Gouh à Melrand ont révélé des activités céréalières et d’élevage. Comme partout en Europe, l’optimum climatique a entraîné une croissance démographique indéniable à partir de 1050 ainsi qu’un développement technologique, notamment en matière de traction animale. La vie y est rythmée par les évènements saisonniers de la nature, le soleil et la liturgie des heures et en septembre vient le temps du labourage et des semailles. Le paysan laboure peu profondément à l’aide d’une charrue (avec roues à la différence de l’araire qui est moins efficace) tractée ici par deux bœufs de petite taille, de race rustique et à cornes courtes.
Figurants : Milites Pagenses
Site : Asnières sur Vègres (72)
1127 - Labour des champs
19/08/2023
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Au XIIe siècle, 90% de la société médiévale relève de la paysannerie, Le groupe paysan est constitué de quelques chevaliers-paysans (milites), une minorité de serfs et une grande majorité de paysans libres (vilains). La Bretagne est à l’époque une zone d’habitat dispersé, bordée de terres et de landes incultes, parfois ces zones sont regroupées en frairies comme dans le vannetais. Les fouilles archéologiques du village de Lann Gouh à Melrand ont révélé des activités céréalières et d’élevage. Comme partout en Europe, l’optimum climatique a entraîné une croissance démographique indéniable à partir de 1050 ainsi qu’un développement technologique, notamment en matière de traction animale. La vie y est rythmée par les évènements saisonniers de la nature, le soleil et la liturgie des heures et en septembre vient le temps du labourage et des semailles. Le paysan laboure peu profondément à l’aide d’une charrue (avec roues à la différence de l’araire qui est moins efficace) tractée ici par deux bœufs de petite taille, de race rustique et à cornes courtes.
Figurants : Milites Pagenses
Site : Asnières sur Vègres (72)
1127 - Labour des champs
19/08/2023
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Au XIIe siècle, 90% de la société médiévale relève de la paysannerie, Le groupe paysan est constitué de quelques chevaliers-paysans (milites), une minorité de serfs et une grande majorité de paysans libres (vilains). La Bretagne est à l’époque une zone d’habitat dispersé, bordée de terres et de landes incultes, parfois ces zones sont regroupées en frairies comme dans le vannetais. Les fouilles archéologiques du village de Lann Gouh à Melrand ont révélé des activités céréalières et d’élevage. Comme partout en Europe, l’optimum climatique a entraîné une croissance démographique indéniable à partir de 1050 ainsi qu’un développement technologique, notamment en matière de traction animale. La vie y est rythmée par les évènements saisonniers de la nature, le soleil et la liturgie des heures et en septembre vient le temps du labourage et des semailles. Le paysan laboure peu profondément à l’aide d’une charrue (avec roues à la différence de l’araire qui est moins efficace) tractée ici par deux bœufs de petite taille, de race rustique et à cornes courtes.
Figurants : Milites Pagenses
Site : Asnières sur Vègres (72)
1127 - Labour des champs
19/08/2023
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Au XIIe siècle, 90% de la société médiévale relève de la paysannerie, Le groupe paysan est constitué de quelques chevaliers-paysans (milites), une minorité de serfs et une grande majorité de paysans libres (vilains). La Bretagne est à l’époque une zone d’habitat dispersé, bordée de terres et de landes incultes, parfois ces zones sont regroupées en frairies comme dans le vannetais. Les fouilles archéologiques du village de Lann Gouh à Melrand ont révélé des activités céréalières et d’élevage. Comme partout en Europe, l’optimum climatique a entraîné une croissance démographique indéniable à partir de 1050 ainsi qu’un développement technologique, notamment en matière de traction animale. La vie y est rythmée par les évènements saisonniers de la nature, le soleil et la liturgie des heures et en septembre vient le temps du labourage et des semailles. Le paysan laboure peu profondément à l’aide d’une charrue (avec roues à la différence de l’araire qui est moins efficace) tractée ici par deux bœufs de petite taille, de race rustique et à cornes courtes.
Figurants : Milites Pagenses
Site : Asnières sur Vègres (72)
1127 - Labour des champs
19/08/2023
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Au XIIe siècle, 90% de la société médiévale relève de la paysannerie, Le groupe paysan est constitué de quelques chevaliers-paysans (milites), une minorité de serfs et une grande majorité de paysans libres (vilains). La Bretagne est à l’époque une zone d’habitat dispersé, bordée de terres et de landes incultes, parfois ces zones sont regroupées en frairies comme dans le vannetais. Les fouilles archéologiques du village de Lann Gouh à Melrand ont révélé des activités céréalières et d’élevage. Comme partout en Europe, l’optimum climatique a entraîné une croissance démographique indéniable à partir de 1050 ainsi qu’un développement technologique, notamment en matière de traction animale. La vie y est rythmée par les évènements saisonniers de la nature, le soleil et la liturgie des heures et en septembre vient le temps du labourage et des semailles. Le paysan laboure peu profondément à l’aide d’une charrue (avec roues à la différence de l’araire qui est moins efficace) tractée ici par deux bœufs de petite taille, de race rustique et à cornes courtes.
Figurants : Milites Pagenses
Site : Asnières sur Vègres (72)
1127 - Labour des champs
19/08/2023
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Au XIIe siècle, 90% de la société médiévale relève de la paysannerie, Le groupe paysan est constitué de quelques chevaliers-paysans (milites), une minorité de serfs et une grande majorité de paysans libres (vilains). La Bretagne est à l’époque une zone d’habitat dispersé, bordée de terres et de landes incultes, parfois ces zones sont regroupées en frairies comme dans le vannetais. Les fouilles archéologiques du village de Lann Gouh à Melrand ont révélé des activités céréalières et d’élevage. Comme partout en Europe, l’optimum climatique a entraîné une croissance démographique indéniable à partir de 1050 ainsi qu’un développement technologique, notamment en matière de traction animale. La vie y est rythmée par les évènements saisonniers de la nature, le soleil et la liturgie des heures et en septembre vient le temps du labourage et des semailles. Le paysan laboure peu profondément à l’aide d’une charrue (avec roues à la différence de l’araire qui est moins efficace) tractée ici par deux bœufs de petite taille, de race rustique et à cornes courtes.
Figurants : Milites Pagenses
Site : Asnières sur Vègres (72)
1127 - Labour des champs
19/08/2023
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Au XIIe siècle, 90% de la société médiévale relève de la paysannerie, Le groupe paysan est constitué de quelques chevaliers-paysans (milites), une minorité de serfs et une grande majorité de paysans libres (vilains). La Bretagne est à l’époque une zone d’habitat dispersé, bordée de terres et de landes incultes, parfois ces zones sont regroupées en frairies comme dans le vannetais. Les fouilles archéologiques du village de Lann Gouh à Melrand ont révélé des activités céréalières et d’élevage. Comme partout en Europe, l’optimum climatique a entraîné une croissance démographique indéniable à partir de 1050 ainsi qu’un développement technologique, notamment en matière de traction animale. La vie y est rythmée par les évènements saisonniers de la nature, le soleil et la liturgie des heures et en septembre vient le temps du labourage et des semailles. Le paysan laboure peu profondément à l’aide d’une charrue (avec roues à la différence de l’araire qui est moins efficace) tractée ici par deux bœufs de petite taille, de race rustique et à cornes courtes.
Figurants : Milites Pagenses
Site : Asnières sur Vègres (72)
1127 - Labour des champs
20/08/2023
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Au XIIe siècle, 90% de la société médiévale relève de la paysannerie, Le groupe paysan est constitué de quelques chevaliers-paysans (milites), une minorité de serfs et une grande majorité de paysans libres (vilains). La Bretagne est à l’époque une zone d’habitat dispersé, bordée de terres et de landes incultes, parfois ces zones sont regroupées en frairies comme dans le vannetais. Les fouilles archéologiques du village de Lann Gouh à Melrand ont révélé des activités céréalières et d’élevage. Comme partout en Europe, l’optimum climatique a entraîné une croissance démographique indéniable à partir de 1050 ainsi qu’un développement technologique, notamment en matière de traction animale. La vie y est rythmée par les évènements saisonniers de la nature, le soleil et la liturgie des heures et en septembre vient le temps du labourage et des semailles. Le paysan laboure peu profondément à l’aide d’une charrue (avec roues à la différence de l’araire qui est moins efficace) tractée ici par deux bœufs de petite taille, de race rustique et à cornes courtes.
Figurants : Milites Pagenses
Site : Asnières sur Vègres (72)
1127 - Labour des champs
19/08/2023
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A cinquante ans, Abélard accepte de devenir abbé de Saint-Gildas de Rhuys. Une abbaye au bout du monde pour ce clerc, le plus connu de son temps à cause de ses amours avec Héloïse plutôt que pour ses recherches philosophiques pourtant hardies. Professeur auprès du milieu parisien aristocratique, il enseigne les arts libéraux et la théologie. Connu pour son caractère intransigeant, il a déjà fait l’objet de plusieurs condamnations pour hérésie. C’est pour fuir les menaces des hautes sphères parisiennes qu’il consent à devenir abbé mais la déception est profonde. Il critique l'indiscipline des religieux, l’environnement et le climat. Il est sans revenus, les moines le persécutent et tentent même de l’empoisonner. Abélard ne cesse de s’apitoyer sur son sort. Craignant pour sa vie, il s’enfuit en 1133.
Modèle et costume : Patrice Etoc - Costumes-sur-Seine
Site : Le Grand-Mont - Saint-Gildas-de-Rhuys (56)
1128 - Les lamentations d'Abélard
19/02/2019
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A cinquante ans, Abélard accepte de devenir abbé de Saint-Gildas de Rhuys. Une abbaye au bout du monde pour ce clerc, le plus connu de son temps à cause de ses amours avec Héloïse plutôt que pour ses recherches philosophiques pourtant hardies. Professeur auprès du milieu parisien aristocratique, il enseigne les arts libéraux et la théologie. Connu pour son caractère intransigeant, il a déjà fait l’objet de plusieurs condamnations pour hérésie. C’est pour fuir les menaces des hautes sphères parisiennes qu’il consent à devenir abbé mais la déception est profonde. Il critique l'indiscipline des religieux, l’environnement et le climat. Il est sans revenus, les moines le persécutent et tentent même de l’empoisonner. Abélard ne cesse de s’apitoyer sur son sort. Craignant pour sa vie, il s’enfuit en 1133.
1128 - Les lamentations d'Abélard
19/02/2019
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Hervé II est vicomte de Léon au milieu du XIIe siècle et a toujours été un opposant farouche au pouvoir Plantagenêt naissant. Le roi d’Angleterre Henri II prend alors de plus en plus d’importance au détriment de son ancien protégé le duc de Bretagne Conan IV. Le vicomte du Faou sur ordre d’Henri II capture par ruse Hervé II de Léon. Enfermé à Châteaulin, il est libéré par les troupes de son fils et du duc de Bretagne. Eudon du Faou est à son tour emprisonné au château de Daoulas où il meurt de mauvais traitements, privé d’eau et de nourriture. À la suite de cet évènement, la forteresse rentre dans le domaine ducal.
Modèle et costume : Milites Pagenses et Letavia
Site : Pont-Croix 1358 (29)
1163 – Le vicomte du Faou emprisonné dans le château de Daoulas
05/07/2020
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Constance hérite de la Bretagne à l’âge de cinq ans en 1166. Le duché est sous la tutelle d’Henri II Plantagenêt, qui contrôle un territoire allant de l’Ecosse aux Pyrénées. Ce dernier la fiance à son troisième fils Geoffroy. Elle passe ses jeunes années à la cour d’Henri II et d’Aliénor d’Aquitaine, baignée dans une culture marquée par la légende arthurienne. Le couple devenu adulte et à la tête de la Bretagne cherche à se détacher de la tutelle paternelle mais Geoffroy meurt à Paris dans un tournoi. Il laisse deux enfants : une fille Aliénor et un fils prénommé Arthur. Le choix de ce prénom est un défi politique. Selon la coutume, l’enfant aurait dû recevoir le prénom d’Henri, celui de son grand-père, mais le nom d’Arthur ravive l’espoir breton en prédisant le retour du roi légendaire. Les faits qui suivent font de lui l’héritier légitime des territoires Plantagenêt réunissant les peuples celtiques. Constance gratifie de nombreuses abbayes. En mai 1189, à Saint-Gildas-de-Rhuys, après avoir assisté à un office, elle octroie une charte à l'abbaye bénédictine, ainsi qu’une donation pour le salut des âmes de son père et de Geoffroy.
Modèles et costumes : Tiska Louve, Stéphanie Roumégous, Laureen Keravec, Centre de l’Imaginaire Arthurien - Calligraphie : Olivier Morel
Site : Eglise de Saint-Tudy en Loctudy (29)
1189 – Constance de Bretagne
23/02/2019
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23/02/2019
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07/05/2023
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1196, la situation est critique pour le jeune duc Arthur Ier de Bretagne, alors âgé de dix ans. Le duché est ravagé par les troupes de Richard Cœur de Lion, sa mère la duchesse Constance est prisonnière de son époux, un baron anglo-normand. L’évêque de Vannes Guethennoc, tuteur du jeune Plantagenêt, décide de réunir les barons bretons à Saint-Malo-de-Beignon en lisière de la forêt de Brocéliande, afin qu'ils prêtent serment de fidélité à Arthur. La symbolique du lieu est importante car le jeune héritier incarne l’espoir breton. Geoffroy de Monmouth a prédit dans les Prophécies de Merlin, le retour du roi et Arthur est considéré comme le successeur légitime de son oncle Richard si ce dernier n’a pas d’héritier. Duc de Bretagne, héritier du royaume Plantagenêt, il donnerait vie à la légende en régnant sur tous les pays celtiques. Le destin sera tout autre, brisé par son oncle Jean sans Terre quelques années plus tard.
Modèles et costumes : La Mesnie de Goëlo, L’Hermine à la Croix d’Argent, Ronan du Nevet et Tamlin.
Site : Centre de l’Imaginaire Arthurien, Château de Comper (56)
1196 - L'espoir breton
01/11/2019
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1200 - L'engouement pour la légende arthurienne
13/08/2017
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1200 - Morgane enfant, découvre Uther Pendragon sous les traits de son père
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La mort d'Elaine d'Astolatt est un passage du Lancelot-Graal issu de la matière de Bretagne composé au début du XIIIe siècle. Cette source majeure de la légende arthurienne dont l'auteur reste inconnu a fortement inspiré l'oeuvre de Malory au XVe siècle et est largement diffusé oralement mais aussi sous la forme de manuscrits dont un des plus connus et des plus anciens daté de 1220 est celui conservé à Rennes.
Dans la version du début du XIIIe siècle, la Demoiselle d'Astolat meurt d'un amour non partagé pour Lancelot et suit une rivière dans un bateau jusqu'à Camelot. Une autre version du même siècle est écrite dans la nouvelle italienne La Donna di Scallota qui a servi d'inspiration pour The Lady of Shalott de Tennyson.
Photo prise au domaine du château de Suscinio (Bretagne sud)
Avec Cédric Chavin et Soizic Lahonda
Merci aux kayaks La Touline
Assistants : Hervé Glot et Anaga Mestres Navarro
1220 - Lady of shalott
06/02/2016
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En épousant la duchesse Alix de Bretagne, Pierre Mauclerc devient régent et duc de Bretagne en 1213. Ce prince capétien est un fidèle du roi de France jusqu’à la régence de Blanche de Castille en 1227. A cette date il se rebelle contre l’autorité royale et se rapproche du roi d’Angleterre, la rupture est consommée. Privé du bail du duché pour félonie, il perd le soutien des barons bretons. Le roi de France Louis IX (saint Louis) n’a plus qu’à pénétrer avec beaucoup de facilité en Bretagne, l’armée royale étant supérieure en nombre. En juin 1231, les troupes de Pierre Mauclerc attaquent l’arrière-garde à Fougères, causant de fortes pertes à Louis IX. Toutefois, après quelques années de lutte, Mauclerc fait sa soumission pure et simple au roi de France.
Modèles et costumes : La Confrérie de Coëtquen
Site : Château de Fougères (35)
1231 - Les troupes de Pierre Mauclerc
23/06/2019
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Les archives de Loire-Atlantique possèdent un document daté de 1235 écrit en hébreu et en latin concluant un différend entre « Creisson et Bonostru, juifs de Guérande » et Geoffroy prieur de Donges, ce dernier étant déclaré affranchi de toutes dettes. Il semble que l’accord ait été fait dans les règles, les témoins étant chrétiens et juifs (sénéchal, prêteurs, chevaliers, clercs).
Poussés par les chrétiens à se tourner vers le métier de prêteur, les juifs d’Occident ont un rôle essentiel dans le développement économique breton au XIIIe siècle : importation de meilleurs crus, essor de la production de sel, développement des ports et d’une marine de commerce. Des fonds importants deviennent indispensables aux échanges.
Il semble que des communautés juives se soient constituées dans l‘Ouest depuis le Ve siècle. L’acte de 1235 prouve qu’elles sont suffisamment nombreuses et intégrées dans le duché. Mais l’église condamne depuis longtemps tout paiement d’intérêt sur un prêt. Sous la pression des Etats en 1240, le duc Jean Ier ordonne le bannissement d’une communauté pourtant implantée depuis des siècles. L’expulsion des juifs permettait aux nobles et aux bourgeois de se débarrasser de concurrents ou d’effacer un passif mais leur départ provoque une pénurie monétaire qui affecte l’économie au siècle suivant.
Modèles et costumes : La Confrérie de Coëtquen
Site : château de Fougères (35)
1235 - Un accord entre juifs et chrétiens de Nantes
22/06/2019
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Henri d’Avaugour, comte de Goëlo, associé à d’autres seigneurs du comté, fonde la chapelle de Kermaria en 1240 à son retour de Palestine en remerciement à la vierge pour sa protection. Henri est l’un des plus puissants nobles de Bretagne. Fils aîné d’Alain de Goëlo, il n’a que 7 ans à la mort de son père mais est déjà fiancé à la duchesse Alix âgée de 12 ans. Le duché lui est alors promis, ce que le roi de France voit d’un mauvais œil. Philippe Auguste rompt les fiançailles pour le remplacer par un prince capétien Pierre de Dreux dit Mauclerc. Malgré une rivalité opposant les deux hommes pendant 30 ans, le 24 juin 1239, Avaugour et Mauclerc vont embarquer ensemble pour prendre part à la croisade dite « des barons ». Le 2 novembre, environ 4000 chevaliers débarquent à Acre. Après deux années passées en Terre sainte, la croisade des barons est un succès diplomatique restant toutefois fragile. Les fondations de chapelles se multiplient au retour des croisades du XIIIe siècle.
Modèles et costumes : La Mesnie de Goëlo et Ronan du Nevet
Site : Chapelle de Kermaria an Isquit - Plouha
1240 - La fondation de Kermaria an Iskuit au retour de croisade
23/02/2020
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En 1203, le jeune duc Arthur Ier de Bretagne est assassiné par le roi d’Angleterre Jean sans Terre qui envahit le duché afin d’en prendre le contrôle mais face au refus des Bretons, Jean opère un demi-tour et incendie au passage la cathédrale de Dol. Pris de remords, il finance sa reconstruction qui s’étale sur tout le XIIIe siècle dans un style anglo-normand. Rappelons qu’entre 848 et 1199, Dol avait été le siège d’un archevêché de Bretagne contesté par celui de Tours, faisant de Dol la capitale religieuse du duché. Le retour de l’église bretonne dans l’orbite française ne se fait pas sans espoir de la part de l’évêque de Dol de reporter un jour le pallium. En 1280, Thibault de Pouancé est élu évêque de Dol, c’est un proche du roi de France. C’est sous son épiscopat qu’est réalisée la maîtresse-vitre du chevet plat de la cathédrale et qu’elle est célébrée, achevant l’intérieur de la cathédrale. Le style est rayonnant, composé de huit lancettes trilobées, elles-mêmes surmontées de quadrilobes, commémorant la vie des saints et des anciens archevêques de Dol, chacun revêtu du pallium que Thibault de Pouancé rêvait de revêtir. Son espoir sera douché l’année suivante à la nomination à l’archevêché de Tours de Renaud de Montbazon.
Site : Cathédrale de Dol-de-Bretagne
Figurants : Maisnie de Goëlo, Les Compaignons de Braello, La Confrérie de Coëtquen
1290 - Thibaut de Pouancé consacre la cathédrale de Dol de Bretagne
22/10/2023
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En 1203, le jeune duc Arthur Ier de Bretagne est assassiné par le roi d’Angleterre Jean sans Terre qui envahit le duché afin d’en prendre le contrôle mais face au refus des Bretons, Jean opère un demi-tour et incendie au passage la cathédrale de Dol. Pris de remords, il finance sa reconstruction qui s’étale sur tout le XIIIe siècle dans un style anglo-normand. Rappelons qu’entre 848 et 1199, Dol avait été le siège d’un archevêché de Bretagne contesté par celui de Tours, faisant de Dol la capitale religieuse du duché. Le retour de l’église bretonne dans l’orbite française ne se fait pas sans espoir de la part de l’évêque de Dol de reporter un jour le pallium. En 1280, Thibault de Pouancé est élu évêque de Dol, c’est un proche du roi de France. C’est sous son épiscopat qu’est réalisée la maîtresse-vitre du chevet plat de la cathédrale et qu’elle est célébrée, achevant l’intérieur de la cathédrale. Le style est rayonnant, composé de huit lancettes trilobées, elles-mêmes surmontées de quadrilobes, commémorant la vie des saints et des anciens archevêques de Dol, chacun revêtu du pallium que Thibault de Pouancé rêvait de revêtir. Son espoir sera douché l’année suivante à la nomination à l’archevêché de Tours de Renaud de Montbazon.
Site : Cathédrale de Dol-de-Bretagne
Figurants : Maisnie de Goëlo, Les Compaignons de Braello, La Confrérie de Coëtquen
1290 - Thibaut de Pouancé consacre la cathédrale de Dol de Bretagne
22/10/2023
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Au cours de la guerre de Succession de Bretagne, Jeanne de Flandres, épouse de Jean de Montfort, continue la lutte pendant la captivité de son mari. Assiégée à Hennebont par les troupes franco-bretonnes, elle parvient par son acharnement à insuffler de l’espoir aux civils et aux soldats qui défendent la ville. A la tête d’un détachement de soldats, elle tente une sortie et crée un incendie dans le campement adverse qui s’en trouve totalement désorganisé. Ayant fait ainsi diversion, elle rejoint Auray d’où elle ramène six cents soldats anglo-bretons qui libèrent la ville. Au XIXe siècle, les historiens bretons attribuent l’origine de son surnom «la Flamme » à l’épisode de l’incendie. Il semble plus probable qu’il soit dû à ses origines flamandes et que l’épisode ait servi sous la plume de Froissard, puis bien plus tard, de la Borderie, à glorifier un sentiment national.
Modèles, costumes et campement : Tyvarlen, La Mesnie de Penhoët, Obliti Milites, Les Tard-Venus, Ar Soudarded, Association Roi Uther, la Mesnie Enguerrand, Alliance des Lions d'Anjou, Emptivus Miles, Ondrej Benda.
Site : Château de Tiffauges (85)
1342 – Jeanne la Flamme
28/09/2019
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Le Quatre-cent-vingt-et-un est bien connu au Moyen-âge, en témoignent indirectement les représentations de sa suite opposée, le six-cent-cinquante-trois sur bon nombre d’œuvres dont la tapisserie de l’Apocalypse. Le Quatre-cent-vingt-et-un est la suite parfaite dont le total est le chiffre symbolique sept ; six-cent-cinquante-trois symbolise la tricherie. En France, les jeux de hasard sont même interdits pendant quelques années par une ordonnance du roi. Décision difficile à appliquer, la seule distraction restante et recommandée devenant le maniement des armes afin de préparer la guerre.
La guerre de Succession de Bretagne qui dure de 1341 à 1364 porte aussi le nom de guerre des deux Jeanne. Jeanne la Flamme représentant son mari Jean de Montfort, prisonnier du roi de France, fait face à Jeanne de Penthièvre nièce du Duc précédent et épouse de Charles de Blois. Le conflit a lieu sous le regard des rois de France et d’Angleterre chacun soutenant un parti pour la conquête du duché. Les trésors, ducal d’une part et royal français de l’autre, financent une guerre dont la dernière manche se joue à la bataille d’Auray en 1364.
Modèles et Costumes : Tyvarlen, Les Tard-Venus et Ar Soudarded
Site : Pont-Croix 1358 (29)
1343 - La symbolique du Quatre-cent-vingt-et-un, une allégorie de la guerre des deux Jeanne
20/04/2019
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Une quinzaine de mois après le début de la Guerre de Succession de Bretagne, l’armée française soutenant Jeanne de Penthièvre et Charles de Blois fait face à l’armée anglaise qui soutient Jeanne de Flandres et Jean de Monfort. Sur fond de Guerre de 100 ans, les deux armées se toisent dans la campagne malestroyenne, la première est en sous-effectif mais équipée et disciplinée tandis que la seconde est plus nombreuse et moins bien organisée. C’est alors que le pape dépêche deux légats pontificaux qui vont convaincre les anglo-bretons et franco-bretons d’effectuer des pourparlers afin d’aboutir à une trêve et pourquoi pas organiser ensemble une nouvelle croisade. La trêve est signée par les représentants des rois respectifs à la chapelle de la Madeleine, faubourg de Malestroit. La paix va durer plus de deux ans, jusqu’à ce que le roi de France exécute de grands seigneurs bretons pour trahison à l’instar d’Olivier IV de Clisson. A partir de ce moment les hostilités reprennent.
Site : Chapelle de la Madeleine à Malestroit
Figurants : Coscor Tyvarlen, Ar Soudarded, Obliti Milites, Les Simiane, Bohemian Company, Carlo Maria Madrigali, Daniel Gaulain, Tristan Venot, Paulin Thérouanne, Dimitri Zaphiraton Salomé Baudou, Vincent Torres-Hugon, Compagnie Excalibur, Belin de Peyrebrune, Mignoned ar Bro.
1343 - La trève de Malestroit
29/05/2023
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L’histoire de Jeanne de Belleville, épouse d’Olivier IV de Clisson, a largement été romancée à partir du XVIIIe siècle, alimentant la légende de la pirate vengeresse. Déçu, diriez-vous ? En 1343, le roi de France soupçonne Clisson, son mari, de s’être rallié à l’Angleterre dans le jeu d’alliances qui secoue la Bretagne alors en pleine guerre. Invité par le roi à un tournoi à Paris, Clisson est exécuté et sa tête dressée au bout d’une pique. Jeanne se lance alors dans une guerre privée contre le roi de France anéantissant plusieurs châteaux. Afin d’assurer sa défense ainsi que la protection de ses enfants, elle entreprend de rejoindre l’Angleterre probablement depuis Bourgneuf. La chronique normande, unique source faisant mention de ce voyage, ne relate que l’exécution de plusieurs marchands, c’est tout. C’est à partir de cette simple mention que les historiens des XVIIIe et XIXe siècles vont créer la légende, comblant les vides de l’Histoire : une noble devenue pirate, un navire amiral nommé Ma Vengeance, l’admiration sans borne de son équipage, l’abordage, la fuite et la dérive de son embarcation de secours, la mort de son plus jeune fils, n’ont aucun fondement historique. Jeanne n’en demeure pas moins une femme courageuse et opiniâtre, soucieuse de la préservation de l’héritage de ses enfants.
Modèles et costumes : Les Tard-Venus
Site : El Galéon, en escale à Nantes (44)
1344 – Jeanne de Belleville – une pirate vengeresse ?
30/06/2018
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C’est en 1349 que la peste arrive en Bretagne, deux ans après son arrivée en Europe dans les ports de Constantinople, Gênes et Marseille, profitant des multiples connexions entre Orient et Occident. Les rats et leurs puces sont les vecteurs de la maladie qui va tuer environ 1/3 de la population européenne. Alors que l’aristocratie et la bourgeoisie ont quitté la ville, le peuple de Quimper subit de plein fouet l’épidémie. Santig Du, un moine franciscain, vient alors en aide à la population en distribuant des vivres et en s’occupant des cadavres qui jonchent les rues. Le médecin tient un rôle important en période d’épidémie malgré son ignorance des origines de la maladie, il porte un masque, se tient à distance et vérifie les urines du pestiféré qui présente le bubon caractéristique de la peste.
Site : Village de Pont-Croix 1358 et cathédrale de Quimper
Figurants : Orian Josnin, Kentigwern Jaouen et Erwan Morzadec
1349 – Un médecin accompagné de Santig Du, au chevet d’un pestiféré.
27/05/2023
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C’est en 1349 que la peste arrive en Bretagne, deux ans après son arrivée en Europe dans les ports de Constantinople, Gênes et Marseille, profitant des multiples connexions entre Orient et Occident. Les rats et leurs puces sont les vecteurs de la maladie qui va tuer environ 1/3 de la population européenne. Alors que l’aristocratie et la bourgeoisie ont quitté la ville, le peuple de Quimper subit de plein fouet l’épidémie. Santig Du, un moine franciscain, vient alors en aide à la population en distribuant des vivres et en s’occupant des cadavres qui jonchent les rues. Le médecin tient un rôle important en période d’épidémie malgré son ignorance des origines de la maladie, il porte un masque, se tient à distance et vérifie les urines du pestiféré qui présente le bubon caractéristique de la peste.
Site : Village de Pont-Croix 1358 et cathédrale de Quimper
Figurants : Orian Josnin, Kentigwern Jaouen et Erwan Morzadec
1349 – Un médecin accompagné de Santig Du, au chevet d’un pestiféré.
27/05/2023
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1351 - Chevalier du Combat des Trente
28/05/2023
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Perrot de Commelan
1351 - Chevalier du Combat des Trente
28/05/2023
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En 1351, dans le pays de Ploërmel, le capitaine anglais Bamborough, commet des exactions sur les civils, bafouant les codes de la chevalerie. Le commandant de Josselin, le maréchal Jean de Beaumanoir, décide d’aller réclamer aux anglais un affrontement en combat loyal. La rencontre est décidée pour le samedi 27 mars 1351, et le nombre des combattants de chaque parti fixé à trente. Dix chevaliers et vingt écuyers, tous Bretons, se joignent à Beaumanoir tandis que la troupe de Bamborough se compose de vingt Anglais, six Allemands et quatre Bretons. Le rendez-vous a été donné près d'un vieux chêne, entre Ploërmel et Josselin, dans une lande dite la lande de Mi-voie. Lourdement armés, ils luttent au corps à corps, sans pitié. Le combat s’éternise. Bamborough est mortellement blessé d’un coup de lance puis a la tête tranchée. Peu importe, le combat reprend. La chaleur est insupportable et Beaumanoir réclame à boire ! « Bois ton sang, Beaumanoir, et la journée est à nous ! » lui répond Geoffroy du Bois. Galvanisés les Bretons parviennent à pénétrer dans les rangs anglais et remportent la victoire. L’évènement fait grand bruit dans toute l’Europe.
Modèles et costumes : Storm Squad, Emmanuel Bertrand, et les Tard-Venus.
Site : Landes de Lanvaux – Grandchamp (56)
1351 - Le Combat des Trente
25/02/2017
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En 1351, dans le pays de Ploërmel, le capitaine anglais Bamborough, commet des exactions sur les civils, bafouant les codes de la chevalerie. Le commandant de Josselin, le maréchal Jean de Beaumanoir, décide d’aller réclamer aux anglais un affrontement en combat loyal. La rencontre est décidée pour le samedi 27 mars 1351, et le nombre des combattants de chaque parti fixé à trente. Dix chevaliers et vingt écuyers, tous Bretons, se joignent à Beaumanoir tandis que la troupe de Bamborough se compose de vingt Anglais, six Allemands et quatre Bretons. Le rendez-vous a été donné près d'un vieux chêne, entre Ploërmel et Josselin, dans une lande dite la lande de Mi-voie. Lourdement armés, ils luttent au corps à corps, sans pitié. Le combat s’éternise. Bamborough est mortellement blessé d’un coup de lance puis a la tête tranchée. Peu importe, le combat reprend. La chaleur est insupportable et Beaumanoir réclame à boire ! « Bois ton sang, Beaumanoir, et la journée est à nous ! » lui répond Geoffroy du Bois. Galvanisés les Bretons parviennent à pénétrer dans les rangs anglais et remportent la victoire. L’évènement fait grand bruit dans toute l’Europe.
Evènement organisé par Pont-Croix 1358 - Tyvarlen
Figurants : Coscor Tyvarlen, Ar Soudarded, Obliti Milites, Les Simiane, Bohemian Company, Carlo Maria Madrigali, Daniel Gaulain, Tristan Venot, Paulin Thérouanne, Dimitri Zaphiraton Salomé Baudou, Vincent Torres-Hugon, Compagnie Excalibur, Belin de Peyrebrune, Mignoned ar Bro.
1351 - Le Combat des Trente
27/05/2023
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En 1351, dans le pays de Ploërmel, le capitaine anglais Bamborough, commet des exactions sur les civils, bafouant les codes de la chevalerie. Le commandant de Josselin, le maréchal Jean de Beaumanoir, décide d’aller réclamer aux anglais un affrontement en combat loyal. La rencontre est décidée pour le samedi 27 mars 1351, et le nombre des combattants de chaque parti fixé à trente. Dix chevaliers et vingt écuyers, tous Bretons, se joignent à Beaumanoir tandis que la troupe de Bamborough se compose de vingt Anglais, six Allemands et quatre Bretons. Le rendez-vous a été donné près d'un vieux chêne, entre Ploërmel et Josselin, dans une lande dite la lande de Mi-voie. Lourdement armés, ils luttent au corps à corps, sans pitié. Le combat s’éternise. Bamborough est mortellement blessé d’un coup de lance puis a la tête tranchée. Peu importe, le combat reprend. La chaleur est insupportable et Beaumanoir réclame à boire ! « Bois ton sang, Beaumanoir, et la journée est à nous ! » lui répond Geoffroy du Bois. Galvanisés les Bretons parviennent à pénétrer dans les rangs anglais et remportent la victoire. L’évènement fait grand bruit dans toute l’Europe.
Evènement organisé par Pont-Croix 1358 - Tyvarlen
Figurants : Coscor Tyvarlen, Ar Soudarded, Obliti Milites, Les Simiane, Bohemian Company, Carlo Maria Madrigali, Daniel Gaulain, Tristan Venot, Paulin Thérouanne, Dimitri Zaphiraton Salomé Baudou, Vincent Torres-Hugon, Compagnie Excalibur, Belin de Peyrebrune, Mignoned ar Bro.
1351 - Le Combat des Trente
27/05/2023
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En 1351, dans le pays de Ploërmel, le capitaine anglais Bamborough, commet des exactions sur les civils, bafouant les codes de la chevalerie. Le commandant de Josselin, le maréchal Jean de Beaumanoir, décide d’aller réclamer aux anglais un affrontement en combat loyal. La rencontre est décidée pour le samedi 27 mars 1351, et le nombre des combattants de chaque parti fixé à trente. Dix chevaliers et vingt écuyers, tous Bretons, se joignent à Beaumanoir tandis que la troupe de Bamborough se compose de vingt Anglais, six Allemands et quatre Bretons. Le rendez-vous a été donné près d'un vieux chêne, entre Ploërmel et Josselin, dans une lande dite la lande de Mi-voie. Lourdement armés, ils luttent au corps à corps, sans pitié. Le combat s’éternise. Bamborough est mortellement blessé d’un coup de lance puis a la tête tranchée. Peu importe, le combat reprend. La chaleur est insupportable et Beaumanoir réclame à boire ! « Bois ton sang, Beaumanoir, et la journée est à nous ! » lui répond Geoffroy du Bois. Galvanisés les Bretons parviennent à pénétrer dans les rangs anglais et remportent la victoire. L’évènement fait grand bruit dans toute l’Europe.
Evènement organisé par Pont-Croix 1358 - Tyvarlen
Figurants : Coscor Tyvarlen, Ar Soudarded, Obliti Milites, Les Simiane, Bohemian Company, Carlo Maria Madrigali, Daniel Gaulain, Tristan Venot, Paulin Thérouanne, Dimitri Zaphiraton Salomé Baudou, Vincent Torres-Hugon, Compagnie Excalibur, Belin de Peyrebrune, Mignoned ar Bro.
1351 - Le Combat des Trente
27/05/2023
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En 1351, dans le pays de Ploërmel, le capitaine anglais Bamborough, commet des exactions sur les civils, bafouant les codes de la chevalerie. Le commandant de Josselin, le maréchal Jean de Beaumanoir, décide d’aller réclamer aux anglais un affrontement en combat loyal. La rencontre est décidée pour le samedi 27 mars 1351, et le nombre des combattants de chaque parti fixé à trente. Dix chevaliers et vingt écuyers, tous Bretons, se joignent à Beaumanoir tandis que la troupe de Bamborough se compose de vingt Anglais, six Allemands et quatre Bretons. Le rendez-vous a été donné près d'un vieux chêne, entre Ploërmel et Josselin, dans une lande dite la lande de Mi-voie. Lourdement armés, ils luttent au corps à corps, sans pitié. Le combat s’éternise. Bamborough est mortellement blessé d’un coup de lance puis a la tête tranchée. Peu importe, le combat reprend. La chaleur est insupportable et Beaumanoir réclame à boire ! « Bois ton sang, Beaumanoir, et la journée est à nous ! » lui répond Geoffroy du Bois. Galvanisés les Bretons parviennent à pénétrer dans les rangs anglais et remportent la victoire. L’évènement fait grand bruit dans toute l’Europe.
Evènement organisé par Pont-Croix 1358 - Tyvarlen
Figurants : Coscor Tyvarlen, Ar Soudarded, Obliti Milites, Les Simiane, Bohemian Company, Carlo Maria Madrigali, Daniel Gaulain, Tristan Venot, Paulin Thérouanne, Dimitri Zaphiraton Salomé Baudou, Vincent Torres-Hugon, Compagnie Excalibur, Belin de Peyrebrune, Mignoned ar Bro.
1351 - Le Combat des Trente
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En 1351, dans le pays de Ploërmel, le capitaine anglais Bamborough, commet des exactions sur les civils, bafouant les codes de la chevalerie. Le commandant de Josselin, le maréchal Jean de Beaumanoir, décide d’aller réclamer aux anglais un affrontement en combat loyal. La rencontre est décidée pour le samedi 27 mars 1351, et le nombre des combattants de chaque parti fixé à trente. Dix chevaliers et vingt écuyers, tous Bretons, se joignent à Beaumanoir tandis que la troupe de Bamborough se compose de vingt Anglais, six Allemands et quatre Bretons. Le rendez-vous a été donné près d'un vieux chêne, entre Ploërmel et Josselin, dans une lande dite la lande de Mi-voie. Lourdement armés, ils luttent au corps à corps, sans pitié. Le combat s’éternise. Bamborough est mortellement blessé d’un coup de lance puis a la tête tranchée. Peu importe, le combat reprend. La chaleur est insupportable et Beaumanoir réclame à boire ! « Bois ton sang, Beaumanoir, et la journée est à nous ! » lui répond Geoffroy du Bois. Galvanisés les Bretons parviennent à pénétrer dans les rangs anglais et remportent la victoire. L’évènement fait grand bruit dans toute l’Europe.
Evènement organisé par Pont-Croix 1358 - Tyvarlen
Figurants : Coscor Tyvarlen, Ar Soudarded, Obliti Milites, Les Simiane, Bohemian Company, Carlo Maria Madrigali, Daniel Gaulain, Tristan Venot, Paulin Thérouanne, Dimitri Zaphiraton Salomé Baudou, Vincent Torres-Hugon, Compagnie Excalibur, Belin de Peyrebrune, Mignoned ar Bro.
1351 - Le Combat des Trente
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En 1351, dans le pays de Ploërmel, le capitaine anglais Bamborough, commet des exactions sur les civils, bafouant les codes de la chevalerie. Le commandant de Josselin, le maréchal Jean de Beaumanoir, décide d’aller réclamer aux anglais un affrontement en combat loyal. La rencontre est décidée pour le samedi 27 mars 1351, et le nombre des combattants de chaque parti fixé à trente. Dix chevaliers et vingt écuyers, tous Bretons, se joignent à Beaumanoir tandis que la troupe de Bamborough se compose de vingt Anglais, six Allemands et quatre Bretons. Le rendez-vous a été donné près d'un vieux chêne, entre Ploërmel et Josselin, dans une lande dite la lande de Mi-voie. Lourdement armés, ils luttent au corps à corps, sans pitié. Le combat s’éternise. Bamborough est mortellement blessé d’un coup de lance puis a la tête tranchée. Peu importe, le combat reprend. La chaleur est insupportable et Beaumanoir réclame à boire ! « Bois ton sang, Beaumanoir, et la journée est à nous ! » lui répond Geoffroy du Bois. Galvanisés les Bretons parviennent à pénétrer dans les rangs anglais et remportent la victoire. L’évènement fait grand bruit dans toute l’Europe.
Evènement organisé par Pont-Croix 1358 - Tyvarlen
Figurants : Coscor Tyvarlen, Ar Soudarded, Obliti Milites, Les Simiane, Bohemian Company, Carlo Maria Madrigali, Daniel Gaulain, Tristan Venot, Paulin Thérouanne, Dimitri Zaphiraton Salomé Baudou, Vincent Torres-Hugon, Compagnie Excalibur, Belin de Peyrebrune, Mignoned ar Bro.
1351 - Le Combat des Trente
27/05/2023
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En 1351, dans le pays de Ploërmel, le capitaine anglais Bamborough, commet des exactions sur les civils, bafouant les codes de la chevalerie. Le commandant de Josselin, le maréchal Jean de Beaumanoir, décide d’aller réclamer aux anglais un affrontement en combat loyal. La rencontre est décidée pour le samedi 27 mars 1351, et le nombre des combattants de chaque parti fixé à trente. Dix chevaliers et vingt écuyers, tous Bretons, se joignent à Beaumanoir tandis que la troupe de Bamborough se compose de vingt Anglais, six Allemands et quatre Bretons. Le rendez-vous a été donné près d'un vieux chêne, entre Ploërmel et Josselin, dans une lande dite la lande de Mi-voie. Lourdement armés, ils luttent au corps à corps, sans pitié. Le combat s’éternise. Bamborough est mortellement blessé d’un coup de lance puis a la tête tranchée. Peu importe, le combat reprend. La chaleur est insupportable et Beaumanoir réclame à boire ! « Bois ton sang, Beaumanoir, et la journée est à nous ! » lui répond Geoffroy du Bois. Galvanisés les Bretons parviennent à pénétrer dans les rangs anglais et remportent la victoire. L’évènement fait grand bruit dans toute l’Europe.
Evènement organisé par Pont-Croix 1358 - Tyvarlen
Figurants : Coscor Tyvarlen, Ar Soudarded, Obliti Milites, Les Simiane, Bohemian Company, Carlo Maria Madrigali, Daniel Gaulain, Tristan Venot, Paulin Thérouanne, Dimitri Zaphiraton Salomé Baudou, Vincent Torres-Hugon, Compagnie Excalibur, Belin de Peyrebrune, Mignoned ar Bro.
1351 - Le Combat des Trente
27/05/2023
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En 1351, dans le pays de Ploërmel, le capitaine anglais Bamborough, commet des exactions sur les civils, bafouant les codes de la chevalerie. Le commandant de Josselin, le maréchal Jean de Beaumanoir, décide d’aller réclamer aux anglais un affrontement en combat loyal. La rencontre est décidée pour le samedi 27 mars 1351, et le nombre des combattants de chaque parti fixé à trente. Dix chevaliers et vingt écuyers, tous Bretons, se joignent à Beaumanoir tandis que la troupe de Bamborough se compose de vingt Anglais, six Allemands et quatre Bretons. Le rendez-vous a été donné près d'un vieux chêne, entre Ploërmel et Josselin, dans une lande dite la lande de Mi-voie. Lourdement armés, ils luttent au corps à corps, sans pitié. Le combat s’éternise. Bamborough est mortellement blessé d’un coup de lance puis a la tête tranchée. Peu importe, le combat reprend. La chaleur est insupportable et Beaumanoir réclame à boire ! « Bois ton sang, Beaumanoir, et la journée est à nous ! » lui répond Geoffroy du Bois. Galvanisés les Bretons parviennent à pénétrer dans les rangs anglais et remportent la victoire. L’évènement fait grand bruit dans toute l’Europe.
Evènement organisé par Pont-Croix 1358 - Tyvarlen
Figurants : Coscor Tyvarlen, Ar Soudarded, Obliti Milites, Les Simiane, Bohemian Company, Carlo Maria Madrigali, Daniel Gaulain, Tristan Venot, Paulin Thérouanne, Dimitri Zaphiraton Salomé Baudou, Vincent Torres-Hugon, Compagnie Excalibur, Belin de Peyrebrune, Mignoned ar Bro.
1351 - Le Combat des Trente
27/05/2023
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En 1351, dans le pays de Ploërmel, le capitaine anglais Bamborough, commet des exactions sur les civils, bafouant les codes de la chevalerie. Le commandant de Josselin, le maréchal Jean de Beaumanoir, décide d’aller réclamer aux anglais un affrontement en combat loyal. La rencontre est décidée pour le samedi 27 mars 1351, et le nombre des combattants de chaque parti fixé à trente. Dix chevaliers et vingt écuyers, tous Bretons, se joignent à Beaumanoir tandis que la troupe de Bamborough se compose de vingt Anglais, six Allemands et quatre Bretons. Le rendez-vous a été donné près d'un vieux chêne, entre Ploërmel et Josselin, dans une lande dite la lande de Mi-voie. Lourdement armés, ils luttent au corps à corps, sans pitié. Le combat s’éternise. Bamborough est mortellement blessé d’un coup de lance puis a la tête tranchée. Peu importe, le combat reprend. La chaleur est insupportable et Beaumanoir réclame à boire ! « Bois ton sang, Beaumanoir, et la journée est à nous ! » lui répond Geoffroy du Bois. Galvanisés les Bretons parviennent à pénétrer dans les rangs anglais et remportent la victoire. L’évènement fait grand bruit dans toute l’Europe.
Evènement organisé par Pont-Croix 1358 - Tyvarlen
Figurants : Coscor Tyvarlen, Ar Soudarded, Obliti Milites, Les Simiane, Bohemian Company, Carlo Maria Madrigali, Daniel Gaulain, Tristan Venot, Paulin Thérouanne, Dimitri Zaphiraton Salomé Baudou, Vincent Torres-Hugon, Compagnie Excalibur, Belin de Peyrebrune, Mignoned ar Bro.
1351 - Le Combat des Trente
28/05/2023
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En 1351, dans le pays de Ploërmel, le capitaine anglais Bamborough, commet des exactions sur les civils, bafouant les codes de la chevalerie. Le commandant de Josselin, le maréchal Jean de Beaumanoir, décide d’aller réclamer aux anglais un affrontement en combat loyal. La rencontre est décidée pour le samedi 27 mars 1351, et le nombre des combattants de chaque parti fixé à trente. Dix chevaliers et vingt écuyers, tous Bretons, se joignent à Beaumanoir tandis que la troupe de Bamborough se compose de vingt Anglais, six Allemands et quatre Bretons. Le rendez-vous a été donné près d'un vieux chêne, entre Ploërmel et Josselin, dans une lande dite la lande de Mi-voie. Lourdement armés, ils luttent au corps à corps, sans pitié. Le combat s’éternise. Bamborough est mortellement blessé d’un coup de lance puis a la tête tranchée. Peu importe, le combat reprend. La chaleur est insupportable et Beaumanoir réclame à boire ! « Bois ton sang, Beaumanoir, et la journée est à nous ! » lui répond Geoffroy du Bois. Galvanisés les Bretons parviennent à pénétrer dans les rangs anglais et remportent la victoire. L’évènement fait grand bruit dans toute l’Europe.
Evènement organisé par Pont-Croix 1358 - Tyvarlen
Figurants : Coscor Tyvarlen, Ar Soudarded, Obliti Milites, Les Simiane, Bohemian Company, Carlo Maria Madrigali, Daniel Gaulain, Tristan Venot, Paulin Thérouanne, Dimitri Zaphiraton Salomé Baudou, Vincent Torres-Hugon, Compagnie Excalibur, Belin de Peyrebrune, Mignoned ar Bro.
1351 - Le Combat des Trente
28/05/2023
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En 1351, dans le pays de Ploërmel, le capitaine anglais Bamborough, commet des exactions sur les civils, bafouant les codes de la chevalerie. Le commandant de Josselin, le maréchal Jean de Beaumanoir, décide d’aller réclamer aux anglais un affrontement en combat loyal. La rencontre est décidée pour le samedi 27 mars 1351, et le nombre des combattants de chaque parti fixé à trente. Dix chevaliers et vingt écuyers, tous Bretons, se joignent à Beaumanoir tandis que la troupe de Bamborough se compose de vingt Anglais, six Allemands et quatre Bretons. Le rendez-vous a été donné près d'un vieux chêne, entre Ploërmel et Josselin, dans une lande dite la lande de Mi-voie. Lourdement armés, ils luttent au corps à corps, sans pitié. Le combat s’éternise. Bamborough est mortellement blessé d’un coup de lance puis a la tête tranchée. Peu importe, le combat reprend. La chaleur est insupportable et Beaumanoir réclame à boire ! « Bois ton sang, Beaumanoir, et la journée est à nous ! » lui répond Geoffroy du Bois. Galvanisés les Bretons parviennent à pénétrer dans les rangs anglais et remportent la victoire. L’évènement fait grand bruit dans toute l’Europe.
Evènement organisé par Pont-Croix 1358 - Tyvarlen
Figurants : Coscor Tyvarlen, Ar Soudarded, Obliti Milites, Les Simiane, Bohemian Company, Carlo Maria Madrigali, Daniel Gaulain, Tristan Venot, Paulin Thérouanne, Dimitri Zaphiraton Salomé Baudou, Vincent Torres-Hugon, Compagnie Excalibur, Belin de Peyrebrune, Mignoned ar Bro.
1351 - Le Combat des Trente
28/05/2023
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En 1351, dans le pays de Ploërmel, le capitaine anglais Bamborough, commet des exactions sur les civils, bafouant les codes de la chevalerie. Le commandant de Josselin, le maréchal Jean de Beaumanoir, décide d’aller réclamer aux anglais un affrontement en combat loyal. La rencontre est décidée pour le samedi 27 mars 1351, et le nombre des combattants de chaque parti fixé à trente. Dix chevaliers et vingt écuyers, tous Bretons, se joignent à Beaumanoir tandis que la troupe de Bamborough se compose de vingt Anglais, six Allemands et quatre Bretons. Le rendez-vous a été donné près d'un vieux chêne, entre Ploërmel et Josselin, dans une lande dite la lande de Mi-voie. Lourdement armés, ils luttent au corps à corps, sans pitié. Le combat s’éternise. Bamborough est mortellement blessé d’un coup de lance puis a la tête tranchée. Peu importe, le combat reprend. La chaleur est insupportable et Beaumanoir réclame à boire ! « Bois ton sang, Beaumanoir, et la journée est à nous ! » lui répond Geoffroy du Bois. Galvanisés les Bretons parviennent à pénétrer dans les rangs anglais et remportent la victoire. L’évènement fait grand bruit dans toute l’Europe.
Evènement organisé par Pont-Croix 1358 - Tyvarlen
Figurants : Coscor Tyvarlen, Ar Soudarded, Obliti Milites, Les Simiane, Bohemian Company, Carlo Maria Madrigali, Daniel Gaulain, Tristan Venot, Paulin Thérouanne, Dimitri Zaphiraton Salomé Baudou, Vincent Torres-Hugon, Compagnie Excalibur, Belin de Peyrebrune, Mignoned ar Bro.
1351 - Le Combat des Trente
27/05/2023
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En 1351, dans le pays de Ploërmel, le capitaine anglais Bamborough, commet des exactions sur les civils, bafouant les codes de la chevalerie. Le commandant de Josselin, le maréchal Jean de Beaumanoir, décide d’aller réclamer aux anglais un affrontement en combat loyal. La rencontre est décidée pour le samedi 27 mars 1351, et le nombre des combattants de chaque parti fixé à trente. Dix chevaliers et vingt écuyers, tous Bretons, se joignent à Beaumanoir tandis que la troupe de Bamborough se compose de vingt Anglais, six Allemands et quatre Bretons. Le rendez-vous a été donné près d'un vieux chêne, entre Ploërmel et Josselin, dans une lande dite la lande de Mi-voie. Lourdement armés, ils luttent au corps à corps, sans pitié. Le combat s’éternise. Bamborough est mortellement blessé d’un coup de lance puis a la tête tranchée. Peu importe, le combat reprend. La chaleur est insupportable et Beaumanoir réclame à boire ! « Bois ton sang, Beaumanoir, et la journée est à nous ! » lui répond Geoffroy du Bois. Galvanisés les Bretons parviennent à pénétrer dans les rangs anglais et remportent la victoire. L’évènement fait grand bruit dans toute l’Europe.
Evènement organisé par Pont-Croix 1358 - Tyvarlen
Figurants : Coscor Tyvarlen, Ar Soudarded, Obliti Milites, Les Simiane, Bohemian Company, Carlo Maria Madrigali, Daniel Gaulain, Tristan Venot, Paulin Thérouanne, Dimitri Zaphiraton Salomé Baudou, Vincent Torres-Hugon, Compagnie Excalibur, Belin de Peyrebrune, Mignoned ar Bro.
1351 - Le Combat des Trente
28/05/2023
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En 1351, dans le pays de Ploërmel, le capitaine anglais Bamborough, commet des exactions sur les civils, bafouant les codes de la chevalerie. Le commandant de Josselin, le maréchal Jean de Beaumanoir, décide d’aller réclamer aux anglais un affrontement en combat loyal. La rencontre est décidée pour le samedi 27 mars 1351, et le nombre des combattants de chaque parti fixé à trente. Dix chevaliers et vingt écuyers, tous Bretons, se joignent à Beaumanoir tandis que la troupe de Bamborough se compose de vingt Anglais, six Allemands et quatre Bretons. Le rendez-vous a été donné près d'un vieux chêne, entre Ploërmel et Josselin, dans une lande dite la lande de Mi-voie. Lourdement armés, ils luttent au corps à corps, sans pitié. Le combat s’éternise. Bamborough est mortellement blessé d’un coup de lance puis a la tête tranchée. Peu importe, le combat reprend. La chaleur est insupportable et Beaumanoir réclame à boire ! « Bois ton sang, Beaumanoir, et la journée est à nous ! » lui répond Geoffroy du Bois. Galvanisés les Bretons parviennent à pénétrer dans les rangs anglais et remportent la victoire. L’évènement fait grand bruit dans toute l’Europe.
Evènement organisé par Pont-Croix 1358 - Tyvarlen
Figurants : Coscor Tyvarlen, Ar Soudarded, Obliti Milites, Les Simiane, Bohemian Company, Carlo Maria Madrigali, Daniel Gaulain, Tristan Venot, Paulin Thérouanne, Dimitri Zaphiraton Salomé Baudou, Vincent Torres-Hugon, Compagnie Excalibur, Belin de Peyrebrune, Mignoned ar Bro.
1351 - Le Combat des Trente
28/05/2023
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1355 - Le fauconnier du roi
29/05/2021
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Au XIVe siècle, Jean de Sérent, seigneur de Tromeur, est le fils d’Olivier et de Gilette de Malestroit. Il est connu pour être un des participants du célèbre Combat des Trente. Sollicité par Jean de Beaumanoir pour affronter comme écuyer le parti anglo-breton, il en sort victorieux, comme ses camarades. En 1356, il commande une compagnie d’écuyers servant sous les ordres de Thibault III sire de Rochefort, capitaine de mille hommes d’armes ainsi que de cinq cents archers. En 1363, il est fait chevalier par Charles de Blois, le prétendant français au trône ducal, probablement sur le champ de bataille de Bécherel. Sérent est également connu pour être fauconnier et garde des oiseaux du roi de France. Dans son manoir de Sérent, il prend soin de ses rapaces : faucons, autours des Palombes.
1355 – Jean de Sérent, fauconnier du roi
28/06/2020
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Au XIVe siècle, Jean de Sérent, seigneur de Tromeur, est le fils d’Olivier et de Gilette de Malestroit. Il est connu pour être un des participants du célèbre Combat des Trente. Sollicité par Jean de Beaumanoir pour affronter comme écuyer le parti anglo-breton, il en sort victorieux, comme ses camarades. En 1356, il commande une compagnie d’écuyers servant sous les ordres de Thibault III sire de Rochefort, capitaine de mille hommes d’armes ainsi que de cinq cents archers. En 1363, il est fait chevalier par Charles de Blois, le prétendant français au trône ducal, probablement sur le champ de bataille de Bécherel. Sérent est également connu pour être fauconnier et garde des oiseaux du roi de France. Dans son manoir de Sérent, il prend soin de ses rapaces : faucons, autours des Palombes.
1355 – Jean de Sérent, fauconnier du roi
28/06/2020
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Au XIVe siècle, Jean de Sérent, seigneur de Tromeur, est le fils d’Olivier et de Gilette de Malestroit. Il est connu pour être un des participants du célèbre Combat des Trente. Sollicité par Jean de Beaumanoir pour affronter comme écuyer le parti anglo-breton, il en sort victorieux, comme ses camarades. En 1356, il commande une compagnie d’écuyers servant sous les ordres de Thibault III sire de Rochefort, capitaine de mille hommes d’armes ainsi que de cinq cents archers. En 1363, il est fait chevalier par Charles de Blois, le prétendant français au trône ducal, probablement sur le champ de bataille de Bécherel. Sérent est également connu pour être fauconnier et garde des oiseaux du roi de France. Dans son manoir de Sérent, il prend soin de ses rapaces : faucons, autours des Palombes.
1355 – Jean de Sérent, fauconnier du roi
28/06/2020
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Au XIVe siècle, Jean de Sérent, seigneur de Tromeur, est le fils d’Olivier et de Gilette de Malestroit. Il est connu pour être un des participants du célèbre Combat des Trente. Sollicité par Jean de Beaumanoir pour affronter comme écuyer le parti anglo-breton, il en sort victorieux, comme ses camarades. En 1356, il commande une compagnie d’écuyers servant sous les ordres de Thibault III sire de Rochefort, capitaine de mille hommes d’armes ainsi que de cinq cents archers. En 1363, il est fait chevalier par Charles de Blois, le prétendant français au trône ducal, probablement sur le champ de bataille de Bécherel. Sérent est également connu pour être fauconnier et garde des oiseaux du roi de France. Dans son manoir de Sérent, il prend soin de ses rapaces : faucons, autours des Palombes.
1355 – Jean de Sérent, fauconnier du roi
28/06/2020
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Site : Rochefort-en-Terre
Modèle et costume : Passion de Roy
Bertrand du Guesclin est âgé de trente-sept ans lorsqu’il se fait adouber chevalier à Montmuran en 1357. Fils ainé du seigneur de la Motte-Broons, Du Guesclin est issu d’une branche cadette de la petite noblesse bretonne. Les historiens brossent le portrait d’un homme laid et brutal, méprisé par ses parents mais qui gagne leur respect par son tempérament et ses prouesses aux tournois.
A trent-quatre ans, il prend part à la guerre de Succession de Bretagne et soutient le parti franco-breton. Il s’est acquis l’admiration de ses pairs à Rennes et, devenu chevalier, il mène une guerre d’embuscade aux franges de la forêt de Brocéliande. A la fin de la guerre en 1364, il devient capitaine des armées du roi de France et s’en va combattre les troupes de mercenaires qui ravagent le sud de la France. Dans ce même château de Montmuran, il se marie en secondes noces à Jeanne de Laval en 1374. Il devient seigneur de Montmuran jusqu’à sa mort en 1380.
Modèles : Les Tard-venus
Site : Château de Montmuran - Les Iffs (35).
1357 - Du Guesclin porté en triomphe à Montmuran
20/10/2018
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La ville de Dinan est assiégée par les troupes anglaises, elle est défendue par Du Guesclin. La situation dure au point qu’il est décidé d’une trêve, chacun pouvant se déplacer à son gré. C’est alors que le frère du futur connétable est capturé par Thomas de Cantorbéry au mépris des conditions de la trêve. Sa libération ne peut se faire qu’à la conclusion d’un duel entre Du Guesclin et Cantorbéry. Le chevalier breton en sort vainqueur sous les vivats du peuple et de Tiphaine sa future épouse. Cette dernière, experte en astrologie, avait prédit sa victoire et ses gloires futures. L’humiliation est cinglante pour Cantorbery. Le triomphe est d’autant plus grand pour Du Guesclin que le duc de Lancastre accepte de participer au banquet de la victoire et de lever le siège de Dinan.
Modèles et costumes : Les Tard-Venus
Site : Château de Saint-Mesmin (85)
Tous souhaitent que la bataille soit décisive en ce jour de septembre 1364. Elle doit clore vingt-trois années de combat acharné opposant les partisans de Jean de Montfort à ceux de Charles de Blois. Les plus grands chevaliers y sont présents : Bertrand Du Guesclin, Olivier de Clisson, Robert Knolles, John Chandos, Jean III de Châlons-Auxerre. Ils commandent sur le terrain environ 7000 hommes.
Le château d’Auray est un point stratégique sur la carte du duché, occupé par les franco-bretons de Charles de Blois. Il est pour les anglo-bretons un obstacle au contrôle de tout le littoral sud de la Bretagne. Le jour de la Saint-Michel, les armées s’affrontent dans une plaine au nord d’Auray, le corps à corps tourne à l’avantage des montfortistes, appuyés par l’arrière-garde anglaise. Le corps de Charles de Blois est retrouvé inerte sur le champ de bataille. Les circonstances de sa mort restent mystérieuses. A l’issu de cet épisode de la guerre de Succession, Jean de Montfort devient le duc Jean IV de Bretagne.
Modèles et costumes : Emptivus Miles, Tyvarlen, Ar Soudarded, Obliti Milites
Site : Tiffauges (85)
1364 - La Bataille d'Auray
29/09/2019
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L’allégresse de Pâques ouvre le mois festif des divertissements de mai, célébrant le renouveau de la nature. On rit, on danse, on chante, on boit pour marquer la joie d’être ensemble car les temps précédents ont été durs, à la guerre de Succession, s’est ajoutée la peste noire. Le premier traité de Guérande en avril 1365 clôt en partie le conflit avec l’arrivée du parti des Montfort à la tête du duché. La Bretagne peut enfin panser ses plaies et se reconstruire. La plupart des seigneuries sont de taille modeste et l’architecture du domaine seigneurial reste en grande partie en bois et torchis : tour de garde, moulin, four, corps de logis, palissade de défense font partie du paysage avant que tout cela ne laisse progressivement place au manoir en pierre.
Modèles et costumes : Tyvarlen, Ar Soudarded et Tard-Venus.
Site : Archéosite de Pont-Croix 1358 (29)
1365 - La fête après la guerre de Succession
20/04/2019
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L’allégresse de Pâques ouvre le mois festif des divertissements de mai, célébrant le renouveau de la nature. On rit, on danse, on chante, on boit pour marquer la joie d’être ensemble car les temps précédents ont été durs, à la guerre de Succession, s’est ajoutée la peste noire. Le premier traité de Guérande en avril 1365 clôt en partie le conflit avec l’arrivée du parti des Montfort à la tête du duché. La Bretagne peut enfin panser ses plaies et se reconstruire.
1365 - La fête après la guerre de Succession
20/04/2019
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1373 – Une montre d’armes supervisée par Bertrand du Guesclin
En 1364, l’issue de la bataille d’Auray annonce la consécration comme duc de Bretagne de Jean IV de Monfort au détriment des Blois-Penthièvre. Cette victoire n’a pu se concrétiser qu’avec l’aide indispensable de l’Angleterre qui a imposé au duc certaines conditions matrimoniales et concessions de places-fortes en particulier portuaires. La mainmise anglaise suscite au fil des premières années de règne la défiance de la noblesse bretonne et du peuple, lequel se soulève à l’annonce du débarquement à Saint-Malo de 4000 soldats anglais. Le roi de France envoie son armée commandée par Bertrand du Guesclin qui pénètre sans opposition dans le duché en 1373. Le duc de Bourbon Louis II, beau-frère du roi Charles V, est le compagnon d’armes de Duguesclin. Suivant les consignes du roi et de son connétable, de ne pas engager de bataille, Ils mènent une guerre d’escarmouche, et réussissent à prendre plusieurs places fortes aux mains des Anglais.
Jean IV abandonné de tous doit s'embarquer pour un nouvel exil en Angleterre fin avril 1373. Le roi de France Charles V ordonne à son connétable, Bertrand Duguesclin de récupérer certaines places fortes restées aux mains des Anglais, dont Brest qui affiche une résistance inattendue. Après une montre d’armes où le dogue noir de Brocéliande a pu superviser l’état de l’équipement militaire des nobles et des soldats qui l’accompagnent, l’assaut contre la citadelle se révèle totalement infructueux. La confrontation se solde par une trêve avec le comte de Salisbury et Brest reste aux mains des Anglais jusqu’en 1397.
Site : Château de Tiffauges (85) – Médiévales de Tiffauges 2023 organisées par Roi Uther
Bertrand Duguesclin : Gamot Boucicaut
1373 - Duguesclin
24/09/2023
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1373 – Une montre d’armes supervisée par Bertrand du Guesclin
En 1364, l’issue de la bataille d’Auray annonce la consécration comme duc de Bretagne de Jean IV de Monfort au détriment des Blois-Penthièvre. Cette victoire n’a pu se concrétiser qu’avec l’aide indispensable de l’Angleterre qui a imposé au duc certaines conditions matrimoniales et concessions de places-fortes en particulier portuaires. La mainmise anglaise suscite au fil des premières années de règne la défiance de la noblesse bretonne et du peuple, lequel se soulève à l’annonce du débarquement à Saint-Malo de 4000 soldats anglais. Le roi de France envoie son armée commandée par Bertrand du Guesclin qui pénètre sans opposition dans le duché en 1373. Le duc de Bourbon Louis II, beau-frère du roi Charles V, est le compagnon d’armes de Duguesclin. Suivant les consignes du roi et de son connétable, de ne pas engager de bataille, Ils mènent une guerre d’escarmouche, et réussissent à prendre plusieurs places fortes aux mains des Anglais.
Jean IV abandonné de tous doit s'embarquer pour un nouvel exil en Angleterre fin avril 1373. Le roi de France Charles V ordonne à son connétable, Bertrand Duguesclin de récupérer certaines places fortes restées aux mains des Anglais, dont Brest qui affiche une résistance inattendue. Après une montre d’armes où le dogue noir de Brocéliande a pu superviser l’état de l’équipement militaire des nobles et des soldats qui l’accompagnent, l’assaut contre la citadelle se révèle totalement infructueux. La confrontation se solde par une trêve avec le comte de Salisbury et Brest reste aux mains des Anglais jusqu’en 1397.
Site : Château de Tiffauges (85) – Médiévales de Tiffauges 2023 organisées par Roi Uther
Bertrand Duguesclin : Gamot Boucicaut
1373 - Duguesclin
23/09/2023
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1373 – Une montre d’armes supervisée par Bertrand du Guesclin
En 1364, l’issue de la bataille d’Auray annonce la consécration comme duc de Bretagne de Jean IV de Monfort au détriment des Blois-Penthièvre. Cette victoire n’a pu se concrétiser qu’avec l’aide indispensable de l’Angleterre qui a imposé au duc certaines conditions matrimoniales et concessions de places-fortes en particulier portuaires. La mainmise anglaise suscite au fil des premières années de règne la défiance de la noblesse bretonne et du peuple, lequel se soulève à l’annonce du débarquement à Saint-Malo de 4000 soldats anglais. Le roi de France envoie son armée commandée par Bertrand du Guesclin qui pénètre sans opposition dans le duché en 1373. Le duc de Bourbon Louis II, beau-frère du roi Charles V, est le compagnon d’armes de Duguesclin. Suivant les consignes du roi et de son connétable, de ne pas engager de bataille, Ils mènent une guerre d’escarmouche, et réussissent à prendre plusieurs places fortes aux mains des Anglais.
Jean IV abandonné de tous doit s'embarquer pour un nouvel exil en Angleterre fin avril 1373. Le roi de France Charles V ordonne à son connétable, Bertrand Duguesclin de récupérer certaines places fortes restées aux mains des Anglais, dont Brest qui affiche une résistance inattendue. Après une montre d’armes où le dogue noir de Brocéliande a pu superviser l’état de l’équipement militaire des nobles et des soldats qui l’accompagnent, l’assaut contre la citadelle se révèle totalement infructueux. La confrontation se solde par une trêve avec le comte de Salisbury et Brest reste aux mains des Anglais jusqu’en 1397.
Site : Château de Tiffauges (85) – Médiévales de Tiffauges 2023 organisées par Roi Uther
Bertrand Duguesclin : Gamot Boucicaut
1373 - Duguesclin
24/09/2023
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1373 – Une montre d’armes supervisée par Bertrand du Guesclin
En 1364, l’issue de la bataille d’Auray annonce la consécration comme duc de Bretagne de Jean IV de Monfort au détriment des Blois-Penthièvre. Cette victoire n’a pu se concrétiser qu’avec l’aide indispensable de l’Angleterre qui a imposé au duc certaines conditions matrimoniales et concessions de places-fortes en particulier portuaires. La mainmise anglaise suscite au fil des premières années de règne la défiance de la noblesse bretonne et du peuple, lequel se soulève à l’annonce du débarquement à Saint-Malo de 4000 soldats anglais. Le roi de France envoie son armée commandée par Bertrand du Guesclin qui pénètre sans opposition dans le duché en 1373. Le duc de Bourbon Louis II, beau-frère du roi Charles V, est le compagnon d’armes de Duguesclin. Suivant les consignes du roi et de son connétable, de ne pas engager de bataille, Ils mènent une guerre d’escarmouche, et réussissent à prendre plusieurs places fortes aux mains des Anglais.
Jean IV abandonné de tous doit s'embarquer pour un nouvel exil en Angleterre fin avril 1373. Le roi de France Charles V ordonne à son connétable, Bertrand Duguesclin de récupérer certaines places fortes restées aux mains des Anglais, dont Brest qui affiche une résistance inattendue. Après une montre d’armes où le dogue noir de Brocéliande a pu superviser l’état de l’équipement militaire des nobles et des soldats qui l’accompagnent, l’assaut contre la citadelle se révèle totalement infructueux. La confrontation se solde par une trêve avec le comte de Salisbury et Brest reste aux mains des Anglais jusqu’en 1397.
Site : Château de Tiffauges (85) – Médiévales de Tiffauges 2023 organisées par Roi Uther
Bertrand Duguesclin : Gamot Boucicaut
1373 - Duguesclin
24/09/2023
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1373 – Une montre d’armes supervisée par Bertrand du Guesclin
En 1364, l’issue de la bataille d’Auray annonce la consécration comme duc de Bretagne de Jean IV de Monfort au détriment des Blois-Penthièvre. Cette victoire n’a pu se concrétiser qu’avec l’aide indispensable de l’Angleterre qui a imposé au duc certaines conditions matrimoniales et concessions de places-fortes en particulier portuaires. La mainmise anglaise suscite au fil des premières années de règne la défiance de la noblesse bretonne et du peuple, lequel se soulève à l’annonce du débarquement à Saint-Malo de 4000 soldats anglais. Le roi de France envoie son armée commandée par Bertrand du Guesclin qui pénètre sans opposition dans le duché en 1373. Le duc de Bourbon Louis II, beau-frère du roi Charles V, est le compagnon d’armes de Duguesclin. Suivant les consignes du roi et de son connétable, de ne pas engager de bataille, Ils mènent une guerre d’escarmouche, et réussissent à prendre plusieurs places fortes aux mains des Anglais.
Jean IV abandonné de tous doit s'embarquer pour un nouvel exil en Angleterre fin avril 1373. Le roi de France Charles V ordonne à son connétable, Bertrand Duguesclin de récupérer certaines places fortes restées aux mains des Anglais, dont Brest qui affiche une résistance inattendue. Après une montre d’armes où le dogue noir de Brocéliande a pu superviser l’état de l’équipement militaire des nobles et des soldats qui l’accompagnent, l’assaut contre la citadelle se révèle totalement infructueux. La confrontation se solde par une trêve avec le comte de Salisbury et Brest reste aux mains des Anglais jusqu’en 1397.
Site : Château de Tiffauges (85) – Médiévales de Tiffauges 2023 organisées par Roi Uther
Bertrand Duguesclin : Gamot Boucicaut
1373 - Duguesclin
23/09/2023
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1373 – Une montre d’armes supervisée par Bertrand du Guesclin
En 1364, l’issue de la bataille d’Auray annonce la consécration comme duc de Bretagne de Jean IV de Monfort au détriment des Blois-Penthièvre. Cette victoire n’a pu se concrétiser qu’avec l’aide indispensable de l’Angleterre qui a imposé au duc certaines conditions matrimoniales et concessions de places-fortes en particulier portuaires. La mainmise anglaise suscite au fil des premières années de règne la défiance de la noblesse bretonne et du peuple, lequel se soulève à l’annonce du débarquement à Saint-Malo de 4000 soldats anglais. Le roi de France envoie son armée commandée par Bertrand du Guesclin qui pénètre sans opposition dans le duché en 1373. Le duc de Bourbon Louis II, beau-frère du roi Charles V, est le compagnon d’armes de Duguesclin. Suivant les consignes du roi et de son connétable, de ne pas engager de bataille, Ils mènent une guerre d’escarmouche, et réussissent à prendre plusieurs places fortes aux mains des Anglais.
Jean IV abandonné de tous doit s'embarquer pour un nouvel exil en Angleterre fin avril 1373. Le roi de France Charles V ordonne à son connétable, Bertrand Duguesclin de récupérer certaines places fortes restées aux mains des Anglais, dont Brest qui affiche une résistance inattendue. Après une montre d’armes où le dogue noir de Brocéliande a pu superviser l’état de l’équipement militaire des nobles et des soldats qui l’accompagnent, l’assaut contre la citadelle se révèle totalement infructueux. La confrontation se solde par une trêve avec le comte de Salisbury et Brest reste aux mains des Anglais jusqu’en 1397.
Site : Château de Tiffauges (85) – Médiévales de Tiffauges 2023 organisées par Roi Uther
Bertrand Duguesclin : Gamot Boucicaut
1373 - Duguesclin
23/09/2023
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1373 – Une montre d’armes supervisée par Bertrand du Guesclin
En 1364, l’issue de la bataille d’Auray annonce la consécration comme duc de Bretagne de Jean IV de Monfort au détriment des Blois-Penthièvre. Cette victoire n’a pu se concrétiser qu’avec l’aide indispensable de l’Angleterre qui a imposé au duc certaines conditions matrimoniales et concessions de places-fortes en particulier portuaires. La mainmise anglaise suscite au fil des premières années de règne la défiance de la noblesse bretonne et du peuple, lequel se soulève à l’annonce du débarquement à Saint-Malo de 4000 soldats anglais. Le roi de France envoie son armée commandée par Bertrand du Guesclin qui pénètre sans opposition dans le duché en 1373. Le duc de Bourbon Louis II, beau-frère du roi Charles V, est le compagnon d’armes de Duguesclin. Suivant les consignes du roi et de son connétable, de ne pas engager de bataille, Ils mènent une guerre d’escarmouche, et réussissent à prendre plusieurs places fortes aux mains des Anglais.
Jean IV abandonné de tous doit s'embarquer pour un nouvel exil en Angleterre fin avril 1373. Le roi de France Charles V ordonne à son connétable, Bertrand Duguesclin de récupérer certaines places fortes restées aux mains des Anglais, dont Brest qui affiche une résistance inattendue. Après une montre d’armes où le dogue noir de Brocéliande a pu superviser l’état de l’équipement militaire des nobles et des soldats qui l’accompagnent, l’assaut contre la citadelle se révèle totalement infructueux. La confrontation se solde par une trêve avec le comte de Salisbury et Brest reste aux mains des Anglais jusqu’en 1397.
Site : Château de Tiffauges (85) – Médiévales de Tiffauges 2023 organisées par Roi Uther
Bertrand Duguesclin : Gamot Boucicaut
1373 - Duguesclin
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1373 – Une montre d’armes supervisée par Bertrand du Guesclin
En 1364, l’issue de la bataille d’Auray annonce la consécration comme duc de Bretagne de Jean IV de Monfort au détriment des Blois-Penthièvre. Cette victoire n’a pu se concrétiser qu’avec l’aide indispensable de l’Angleterre qui a imposé au duc certaines conditions matrimoniales et concessions de places-fortes en particulier portuaires. La mainmise anglaise suscite au fil des premières années de règne la défiance de la noblesse bretonne et du peuple, lequel se soulève à l’annonce du débarquement à Saint-Malo de 4000 soldats anglais. Le roi de France envoie son armée commandée par Bertrand du Guesclin qui pénètre sans opposition dans le duché en 1373. Le duc de Bourbon Louis II, beau-frère du roi Charles V, est le compagnon d’armes de Duguesclin. Suivant les consignes du roi et de son connétable, de ne pas engager de bataille, Ils mènent une guerre d’escarmouche, et réussissent à prendre plusieurs places fortes aux mains des Anglais.
Jean IV abandonné de tous doit s'embarquer pour un nouvel exil en Angleterre fin avril 1373. Le roi de France Charles V ordonne à son connétable, Bertrand Duguesclin de récupérer certaines places fortes restées aux mains des Anglais, dont Brest qui affiche une résistance inattendue. Après une montre d’armes où le dogue noir de Brocéliande a pu superviser l’état de l’équipement militaire des nobles et des soldats qui l’accompagnent, l’assaut contre la citadelle se révèle totalement infructueux. La confrontation se solde par une trêve avec le comte de Salisbury et Brest reste aux mains des Anglais jusqu’en 1397.
Site : Château de Tiffauges (85) – Médiévales de Tiffauges 2023 organisées par Roi Uther
Bertrand Duguesclin : Gamot Boucicaut
1373 - Duguesclin
23/09/2023
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La période qui suit se révèle très instable. Même si le premier traité de Guérande reconnaît Jean IV de Montfort comme duc de Bretagne, la rivalité entre le duché et le royaume de France demeure. Le duc doit accepter l’arrivée des troupes anglaises sur son sol puisque la guerre de Cent Ans continue en France. La noblesse bretonne s’y oppose, la France envoie des troupes et oblige le duc à s’exiler. Le duché, confisqué par le roi de France, est occupé par les Français. La population bretonne cherchant la neutralité entre les deux partis, la noblesse rappelle Jean IV de Montfort.
C’est là qu’un contingent de du Guesclin part faire le siège du château de Fort-la-Latte en 1379. Malgré un effectif peu important et une résistance active, la forteresse est prise.
Le roi Charles V, voyant se renforcer le désir de neutralité des Bretons, signe avec le duc le second traité de Guérande consacrant la neutralité du duché et l’hommage féodal au roi de France. Fort-la-Latte, appelé à l’époque La Roche-Goyon, est finalement rendu à son propriétaire en 1381.
La période qui suit se révèle très instable. Même si le premier traité de Guérande reconnaît Jean IV de Montfort comme duc de Bretagne, la rivalité entre le duché et le royaume de France demeure. Le duc doit accepter l’arrivée des troupes anglaises sur son sol puisque la guerre de Cent Ans continue en France. La noblesse bretonne s’y oppose, la France envoie des troupes et oblige le duc à s’exiler. Le duché, confisqué par le roi de France, est occupé par les Français. La population bretonne cherchant la neutralité entre les deux partis, la noblesse rappelle Jean IV de Montfort.
C’est là qu’un contingent de du Guesclin part faire le siège du château de Fort-la-Latte en 1379. Malgré un effectif peu important et une résistance active, la forteresse est prise.
Le roi Charles V, voyant se renforcer le désir de neutralité des Bretons, signe avec le duc le second traité de Guérande consacrant la neutralité du duché et l’hommage féodal au roi de France. Fort-la-Latte, appelé à l’époque La Roche-Goyon, est finalement rendu à son propriétaire en 1381.
Modèles et costumes : Les Tard-Venus
Site : Château de Fort-la-Latte avec l’aimable autorisation de la famille Jouon des Longrais (22)
1379 - Un contingent de du Guesclin prend Fort-la-Latte