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Bas Moyen-âge (1067-1492)
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La première mention de poudre à canon en Bretagne date de 1361, au sud de la Loire, au Loroux-Bottereau, Aliénor de Thouars acheta en petite quantité, de la poudre pour des canons. En 1380, l’Angleterre ravitaillait conséquemment ses garnisons basées au château de Brest. Olivier de Clisson, pour fabriquer de l’artillerie à Blain, fit appel à Pierre de Lussenbourgc en 1392. Le nord de la Bretagne, hormis Brest, est quant à lui équipé en artillerie vers 1400. Les inventaires après-décès de Jean IV (1399), signalent que les forteresses de Vannes et Auray sont déjà pourvues en artillerie à combustion.
On sait que Jean IV de Bretagne loua les services de deux canonniers en 1386, Perrot Le Potier et Guillaume Julou. En 1391, Guillaume Carnac, garde de l’artillerie du duc, supervise la fabrication des canons. C’est l’année suivante, un de ses proches parents qui lui succède pour équiper le château de Nantes. On sollicite alors des forgerons, des charretiers, des charpentiers et des fournisseurs de différentes matières premières : charbon, savon, cordages, cuir et bien sûr poudre à canon. Cet équipement est révélateur des ambitions militaires du premier représentant de la dynastie Monfort.
Figurant : Maisnie de l'Hermine
Les Médiévales de Tiffauges 1371 le siège de la forteresse
1391 - Couple d'aristocrates italiens
25/09/2022
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La première mention de poudre à canon en Bretagne date de 1361, au sud de la Loire, au Loroux-Bottereau, Aliénor de Thouars acheta en petite quantité, de la poudre pour des canons. En 1380, l’Angleterre ravitaillait conséquemment ses garnisons basées au château de Brest. Olivier de Clisson, pour fabriquer de l’artillerie à Blain, fit appel à Pierre de Lussenbourgc en 1392. Le nord de la Bretagne, hormis Brest, est quant à lui équipé en artillerie vers 1400. Les inventaires après-décès de Jean IV (1399), signalent que les forteresses de Vannes et Auray sont déjà pourvues en artillerie à combustion.
On sait que Jean IV de Bretagne loua les services de deux canonniers en 1386, Perrot Le Potier et Guillaume Julou. En 1391, Guillaume Carnac, garde de l’artillerie du duc, supervise la fabrication des canons. C’est l’année suivante, un de ses proches parents qui lui succède pour équiper le château de Nantes. On sollicite alors des forgerons, des charretiers, des charpentiers et des fournisseurs de différentes matières premières : charbon, savon, cordages, cuir et bien sûr poudre à canon. Cet équipement est révélateur des ambitions militaires du premier représentant de la dynastie Monfort.
Figurant : Maisnie de l'Hermine
Les Médiévales de Tiffauges 1371 le siège de la forteresse
1391 - Les artilleurs de Jean IV
24/09/2022
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1416 - Le duc Jean V de Bretagne
01/03/2020
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1416 - Le duc Jean V de Bretagne
01/03/2020
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1419 - Retour de la chasse au faucon - Vitré
01/03/2020
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Après la fin du spectacle, les chevaliers viennent se reposer dans une étuve aménagée à proximité. La pratique ancestrale du bain est un plaisir et elle connaît un renouveau après les croisades. C’est un prétexte à toutes sortes d’agréments galants. Les usagers disposent de produits de toilette, de parfums et de savons. Le cuveau de bois est recouvert d’un tissu blanc pour éviter les échardes. On conserve l’eau après chaque utilisation et on la filtre en changeant le drap. A la fin du Moyen-âge la réputation des étuves devient sulfureuse car elles deviennent des lieux d’activités amoureuses tarifées.
On imagine bien en 1459 les frères chevaliers, Olivier du Chaffaut et Sylvestre du Chaffaut se prélasser après les efforts fournis aux joutes du tournoi de Nantes, en ce milieu de XVe siècle.
Modèles et accessoires : Hermine Radieuse
1459 - L'étuve après le tournoi
21/04/2019
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Trois mois qu’on ne pense qu’à ça : au tournoi qui se tiendra à Nantes place du Bouffay devant toute la foule et la cour ducale de François II. La fine fleur de la chevalerie bretonne présente le plus haut degré de faste tout comme les dames apprêtées qui se tiennent au premier rang des tribunes.
Les combats excitent la foule, les lances volent en éclats, les duels sont au corps à corps, on fatigue à force de coups. Mellinet dans son Histoire de la Commune de Nantes nous décrit les chevaliers de la façon suivante : Enfin, voilà les chevaliers qui doivent combattre en tournoi. Ils se distinguent par leurs couleurs, leurs blasons, et surtout par les cimiers de leurs casques. C'est par le cimier que le peuple désigne chaque concurrent : c'est un aigle éployé d'or ou d'argent, une queue de paon, une hure de sanglier or ou argent, […]. Tous ces chevaliers sont en l'équipage le plus pompeux qui se puisse imaginer ; les écuyers qui les accompagnent portent leurs bannières. Les harnais et caparaçons de leurs chevaux répondent à cette magnificence.
Modèles et costumes : Les Ecuyers de l’Histoire
Site : Remparts de Dinan (22)
1459 - Le tournoi de Nantes
20/07/2018
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Bréhant-Loudéac, en plein Kreiz-Breizh, fait partie au XVe siècle des terres de Jean de Rohan, seigneur du Gué de l’Isle, une branche cadette de la dynastie des Rohan. Au cours de sa vie, Il est chambellan du duc, grand fauconnier de Bretagne, capitaine de Concarneau, conseiller du vicomte de Rohan mais est surtout connu pour avoir dans son fief de Bréhant, réalisé deux moulins à papier et installé la première imprimerie connue de Bretagne qui a fait son apparition trente ans auparavant, en 1455 à Mayence. Deux imprimeurs qui s'appelaient Robin Foucquet et Jean Crès. Le matériel était coûteux, mais pas très difficile à transporter : une petite presse, une police de lettres en métal, une boîte ou casse pour les distribuer, quelques accessoires, quelques outils et c'est tout. En sortent les premiers incunables dont le premier le Trespassement Nostre Dame. A la vue des caractères, le matériel semble venir des Flandres, vraisemblablement comme nos deux imprimeurs qui ont dû y être formés. Cinq incunables sont relatifs à des questions religieuses, trois sont de petits traités de morale chevaleresque ; et deux renferment des connaissances pratiques utiles à tous pour la conduite de leur vie."
Site : Manoir de Minguionnet – Gourin
Figurants et presse : Hermine Radieuse
1484 - L'arrivée de l'imprimerie en Bretagne
09/09/2023
Julien Danielo Auteur Photographe
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Bréhant-Loudéac, en plein Kreiz-Breizh, fait partie au XVe siècle des terres de Jean de Rohan, seigneur du Gué de l’Isle, une branche cadette de la dynastie des Rohan. Au cours de sa vie, Il est chambellan du duc, grand fauconnier de Bretagne, capitaine de Concarneau, conseiller du vicomte de Rohan mais est surtout connu pour avoir dans son fief de Bréhant, réalisé deux moulins à papier et installé la première imprimerie connue de Bretagne qui a fait son apparition trente ans auparavant, en 1455 à Mayence. Deux imprimeurs qui s'appelaient Robin Foucquet et Jean Crès. Le matériel était coûteux, mais pas très difficile à transporter : une petite presse, une police de lettres en métal, une boîte ou casse pour les distribuer, quelques accessoires, quelques outils et c'est tout. En sortent les premiers incunables dont le premier le Trespassement Nostre Dame. A la vue des caractères, le matériel semble venir des Flandres, vraisemblablement comme nos deux imprimeurs qui ont dû y être formés. Cinq incunables sont relatifs à des questions religieuses, trois sont de petits traités de morale chevaleresque ; et deux renferment des connaissances pratiques utiles à tous pour la conduite de leur vie."
Site : Manoir de Minguionnet – Gourin
Figurants et presse : Hermine Radieuse
1484 - L'arrivée de l'imprimerie en Bretagne
09/09/2023
Julien Danielo Auteur Photographe
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Bréhant-Loudéac, en plein Kreiz-Breizh, fait partie au XVe siècle des terres de Jean de Rohan, seigneur du Gué de l’Isle, une branche cadette de la dynastie des Rohan. Au cours de sa vie, Il est chambellan du duc, grand fauconnier de Bretagne, capitaine de Concarneau, conseiller du vicomte de Rohan mais est surtout connu pour avoir dans son fief de Bréhant, réalisé deux moulins à papier et installé la première imprimerie connue de Bretagne qui a fait son apparition trente ans auparavant, en 1455 à Mayence. Deux imprimeurs qui s'appelaient Robin Foucquet et Jean Crès. Le matériel était coûteux, mais pas très difficile à transporter : une petite presse, une police de lettres en métal, une boîte ou casse pour les distribuer, quelques accessoires, quelques outils et c'est tout. En sortent les premiers incunables dont le premier le Trespassement Nostre Dame. A la vue des caractères, le matériel semble venir des Flandres, vraisemblablement comme nos deux imprimeurs qui ont dû y être formés. Cinq incunables sont relatifs à des questions religieuses, trois sont de petits traités de morale chevaleresque ; et deux renferment des connaissances pratiques utiles à tous pour la conduite de leur vie."
Site : Manoir de Minguionnet – Gourin
Figurants et presse : Hermine Radieuse
1484 - L'arrivée de l'imprimerie en Bretagne
09/09/2023
Julien Danielo Auteur Photographe
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Bréhant-Loudéac, en plein Kreiz-Breizh, fait partie au XVe siècle des terres de Jean de Rohan, seigneur du Gué de l’Isle, une branche cadette de la dynastie des Rohan. Au cours de sa vie, Il est chambellan du duc, grand fauconnier de Bretagne, capitaine de Concarneau, conseiller du vicomte de Rohan mais est surtout connu pour avoir dans son fief de Bréhant, réalisé deux moulins à papier et installé la première imprimerie connue de Bretagne qui a fait son apparition trente ans auparavant, en 1455 à Mayence. Deux imprimeurs qui s'appelaient Robin Foucquet et Jean Crès. Le matériel était coûteux, mais pas très difficile à transporter : une petite presse, une police de lettres en métal, une boîte ou casse pour les distribuer, quelques accessoires, quelques outils et c'est tout. En sortent les premiers incunables dont le premier le Trespassement Nostre Dame. A la vue des caractères, le matériel semble venir des Flandres, vraisemblablement comme nos deux imprimeurs qui ont dû y être formés. Cinq incunables sont relatifs à des questions religieuses, trois sont de petits traités de morale chevaleresque ; et deux renferment des connaissances pratiques utiles à tous pour la conduite de leur vie."
Site : Manoir de Minguionnet – Gourin
Figurants et presse : Hermine Radieuse
1484 - L'arrivée de l'imprimerie en Bretagne
09/09/2023
Julien Danielo Auteur Photographe
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Bréhant-Loudéac, en plein Kreiz-Breizh, fait partie au XVe siècle des terres de Jean de Rohan, seigneur du Gué de l’Isle, une branche cadette de la dynastie des Rohan. Au cours de sa vie, Il est chambellan du duc, grand fauconnier de Bretagne, capitaine de Concarneau, conseiller du vicomte de Rohan mais est surtout connu pour avoir dans son fief de Bréhant, réalisé deux moulins à papier et installé la première imprimerie connue de Bretagne qui a fait son apparition trente ans auparavant, en 1455 à Mayence. Deux imprimeurs qui s'appelaient Robin Foucquet et Jean Crès. Le matériel était coûteux, mais pas très difficile à transporter : une petite presse, une police de lettres en métal, une boîte ou casse pour les distribuer, quelques accessoires, quelques outils et c'est tout. En sortent les premiers incunables dont le premier le Trespassement Nostre Dame. A la vue des caractères, le matériel semble venir des Flandres, vraisemblablement comme nos deux imprimeurs qui ont dû y être formés. Cinq incunables sont relatifs à des questions religieuses, trois sont de petits traités de morale chevaleresque ; et deux renferment des connaissances pratiques utiles à tous pour la conduite de leur vie."
Site : Manoir de Minguionnet – Gourin
Figurants et presse : Hermine Radieuse
1484 - L'arrivée de l'imprimerie en Bretagne
09/09/2023
Julien Danielo Auteur Photographe
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Bréhant-Loudéac, en plein Kreiz-Breizh, fait partie au XVe siècle des terres de Jean de Rohan, seigneur du Gué de l’Isle, une branche cadette de la dynastie des Rohan. Au cours de sa vie, Il est chambellan du duc, grand fauconnier de Bretagne, capitaine de Concarneau, conseiller du vicomte de Rohan mais est surtout connu pour avoir dans son fief de Bréhant, réalisé deux moulins à papier et installé la première imprimerie connue de Bretagne qui a fait son apparition trente ans auparavant, en 1455 à Mayence. Deux imprimeurs qui s'appelaient Robin Foucquet et Jean Crès. Le matériel était coûteux, mais pas très difficile à transporter : une petite presse, une police de lettres en métal, une boîte ou casse pour les distribuer, quelques accessoires, quelques outils et c'est tout. En sortent les premiers incunables dont le premier le Trespassement Nostre Dame. A la vue des caractères, le matériel semble venir des Flandres, vraisemblablement comme nos deux imprimeurs qui ont dû y être formés. Cinq incunables sont relatifs à des questions religieuses, trois sont de petits traités de morale chevaleresque ; et deux renferment des connaissances pratiques utiles à tous pour la conduite de leur vie."
Site : Manoir de Minguionnet – Gourin
Figurants et presse : Hermine Radieuse
1484 - L'arrivée de l'imprimerie en Bretagne
09/09/2023
Julien Danielo Auteur Photographe
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Bréhant-Loudéac, en plein Kreiz-Breizh, fait partie au XVe siècle des terres de Jean de Rohan, seigneur du Gué de l’Isle, une branche cadette de la dynastie des Rohan. Au cours de sa vie, Il est chambellan du duc, grand fauconnier de Bretagne, capitaine de Concarneau, conseiller du vicomte de Rohan mais est surtout connu pour avoir dans son fief de Bréhant, réalisé deux moulins à papier et installé la première imprimerie connue de Bretagne qui a fait son apparition trente ans auparavant, en 1455 à Mayence. Deux imprimeurs qui s'appelaient Robin Foucquet et Jean Crès. Le matériel était coûteux, mais pas très difficile à transporter : une petite presse, une police de lettres en métal, une boîte ou casse pour les distribuer, quelques accessoires, quelques outils et c'est tout. En sortent les premiers incunables dont le premier le Trespassement Nostre Dame. A la vue des caractères, le matériel semble venir des Flandres, vraisemblablement comme nos deux imprimeurs qui ont dû y être formés. Cinq incunables sont relatifs à des questions religieuses, trois sont de petits traités de morale chevaleresque ; et deux renferment des connaissances pratiques utiles à tous pour la conduite de leur vie."
Site : Manoir de Minguionnet – Gourin
Figurants et presse : Hermine Radieuse
1484 - L'arrivée de l'imprimerie en Bretagne
09/09/2023
Julien Danielo Auteur Photographe
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Bréhant-Loudéac, en plein Kreiz-Breizh, fait partie au XVe siècle des terres de Jean de Rohan, seigneur du Gué de l’Isle, une branche cadette de la dynastie des Rohan. Au cours de sa vie, Il est chambellan du duc, grand fauconnier de Bretagne, capitaine de Concarneau, conseiller du vicomte de Rohan mais est surtout connu pour avoir dans son fief de Bréhant, réalisé deux moulins à papier et installé la première imprimerie connue de Bretagne qui a fait son apparition trente ans auparavant, en 1455 à Mayence. Deux imprimeurs qui s'appelaient Robin Foucquet et Jean Crès. Le matériel était coûteux, mais pas très difficile à transporter : une petite presse, une police de lettres en métal, une boîte ou casse pour les distribuer, quelques accessoires, quelques outils et c'est tout. En sortent les premiers incunables dont le premier le Trespassement Nostre Dame. A la vue des caractères, le matériel semble venir des Flandres, vraisemblablement comme nos deux imprimeurs qui ont dû y être formés. Cinq incunables sont relatifs à des questions religieuses, trois sont de petits traités de morale chevaleresque ; et deux renferment des connaissances pratiques utiles à tous pour la conduite de leur vie."
Site : Manoir de Minguionnet – Gourin
Figurants et presse : Hermine Radieuse
1484 - L'arrivée de l'imprimerie en Bretagne
09/09/2023
Julien Danielo Auteur Photographe
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Bréhant-Loudéac, en plein Kreiz-Breizh, fait partie au XVe siècle des terres de Jean de Rohan, seigneur du Gué de l’Isle, une branche cadette de la dynastie des Rohan. Au cours de sa vie, Il est chambellan du duc, grand fauconnier de Bretagne, capitaine de Concarneau, conseiller du vicomte de Rohan mais est surtout connu pour avoir dans son fief de Bréhant, réalisé deux moulins à papier et installé la première imprimerie connue de Bretagne qui a fait son apparition trente ans auparavant, en 1455 à Mayence. Deux imprimeurs qui s'appelaient Robin Foucquet et Jean Crès. Le matériel était coûteux, mais pas très difficile à transporter : une petite presse, une police de lettres en métal, une boîte ou casse pour les distribuer, quelques accessoires, quelques outils et c'est tout. En sortent les premiers incunables dont le premier le Trespassement Nostre Dame. A la vue des caractères, le matériel semble venir des Flandres, vraisemblablement comme nos deux imprimeurs qui ont dû y être formés. Cinq incunables sont relatifs à des questions religieuses, trois sont de petits traités de morale chevaleresque ; et deux renferment des connaissances pratiques utiles à tous pour la conduite de leur vie."
Site : Manoir de Minguionnet – Gourin
Figurants et presse : Hermine Radieuse
1484 - L'arrivée de l'imprimerie en Bretagne
09/09/2023
Julien Danielo Auteur Photographe
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Bréhant-Loudéac, en plein Kreiz-Breizh, fait partie au XVe siècle des terres de Jean de Rohan, seigneur du Gué de l’Isle, une branche cadette de la dynastie des Rohan. Au cours de sa vie, Il est chambellan du duc, grand fauconnier de Bretagne, capitaine de Concarneau, conseiller du vicomte de Rohan mais est surtout connu pour avoir dans son fief de Bréhant, réalisé deux moulins à papier et installé la première imprimerie connue de Bretagne qui a fait son apparition trente ans auparavant, en 1455 à Mayence. Deux imprimeurs qui s'appelaient Robin Foucquet et Jean Crès. Le matériel était coûteux, mais pas très difficile à transporter : une petite presse, une police de lettres en métal, une boîte ou casse pour les distribuer, quelques accessoires, quelques outils et c'est tout. En sortent les premiers incunables dont le premier le Trespassement Nostre Dame. A la vue des caractères, le matériel semble venir des Flandres, vraisemblablement comme nos deux imprimeurs qui ont dû y être formés. Cinq incunables sont relatifs à des questions religieuses, trois sont de petits traités de morale chevaleresque ; et deux renferment des connaissances pratiques utiles à tous pour la conduite de leur vie."
Site : Manoir de Minguionnet – Gourin
Figurants et presse : Hermine Radieuse
1484 - L'arrivée de l'imprimerie en Bretagne
09/09/2023
Julien Danielo Auteur Photographe
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Pierre Landais, trésorier et receveur général de Bretagne, est le principal conseiller du duc François II. Il est issu de la bourgeoisie commerçante. Son ambition et son expérience lui permettent de gravir tous les échelons de la société au grand dam de la haute noblesse qui se voit privée des faveurs du Duc. A l’aube de la Renaissance, il mène une politique d’indépendance de la Bretagne, travaillant à faire du duché une puissance européenne. La haute aristocratie se tourne alors vers le roi de France et fomente un coup d’Etat destiné à le renverser. Accusé du meurtre de Guillaume Chauvin, son principal rival, et de malversations, Landais est capturé, jugé en 1485 et aussitôt exécuté à Nantes. Sa mort fragilise la politique de François II, le père d’Anne de Bretagne, et la succession devient un enjeu majeur.
Modèles et costumes : Hermine Radieuse
Site : Stalles de la cathédrale Saint-Pol de Léon (29)
1485 - La noblesse bretonne au procès de Pierre Landais
Pierre Landais, trésorier et receveur général de Bretagne, est le principal conseiller du duc François II. Il est issu de la bourgeoisie commerçante. Son ambition et son expérience lui permettent de gravir tous les échelons de la société au grand dam de la haute noblesse qui se voit privée des faveurs du Duc. A l’aube de la Renaissance, il mène une politique d’indépendance de la Bretagne, travaillant à faire du duché une puissance européenne. La haute aristocratie se tourne alors vers le roi de France et fomente un coup d’Etat destiné à le renverser. Accusé du meurtre de Guillaume Chauvin, son principal rival, et de malversations, Landais est capturé, jugé en 1485 et aussitôt exécuté à Nantes. Sa mort fragilise la politique de François II, le père d’Anne de Bretagne, et la succession devient un enjeu majeur.
1485 - la noblesse de Bretagne au procès de Pierre Landais
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Pierre Landais, trésorier et receveur général de Bretagne, est le principal conseiller du duc François II. Il est issu de la bourgeoisie commerçante. Son ambition et son expérience lui permettent de gravir tous les échelons de la société au grand dam de la haute noblesse qui se voit privée des faveurs du Duc. A l’aube de la Renaissance, il mène une politique d’indépendance de la Bretagne, travaillant à faire du duché une puissance européenne. La haute aristocratie se tourne alors vers le roi de France et fomente un coup d’Etat destiné à le renverser. Accusé du meurtre de Guillaume Chauvin, son principal rival, et de malversations, Landais est capturé, jugé en 1485 et aussitôt exécuté à Nantes. Sa mort fragilise la politique de François II, le père d’Anne de Bretagne, et la succession devient un enjeu majeur.
Modèles et costumes : Hermine Radieuse
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