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Epoque moderne (1492-1789)

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    • A Plénée-Jugon, le château de la Moussaye abrite depuis 1611 une église réformée et les membres de la famille de La Moussaye sont parmi les huguenots les plus influents de la province. En 1685, Louis XIV révoque l’édit de Nantes et les persécutions se multiplient. Mademoiselle de la Moussaye, sa sœur la marquise et son mari décident de prendre la fuite et de partir pour la Hollande malgré l’interdiction de quitter le royaume. Marie de la Moussaye décide de confier le château à Philippe de Graves, maître peintre qui s’y est établi afin d’y assurer la décoration intérieure. Protestant, il a dû abjurer ainsi que son épouse pour ne pas risquer de voir ses enfants enlevés sur décision du juge. Mademoiselle de la Moussaye lui fait confiance pour éviter que les dragons du régiment d’Asfeld ne viennent piller et occuper son château. La demoiselle et sa famille sont arrêtées le 24 janvier 1686 près de la frontière de la Meuse. Elle est transférée à la Bastille où, malgré de multiples pressions, elle refuse d'abjurer. Expulsée du royaume de France le 10 avril 1691, elle gagne la Hollande et meurt à La Haye à 85 ans, en octobre 1717.

      Modèles et costumes : Axël Le Boulicaut et Lélia Chéru - Midnight Première
      Site : Château de la Moussaye – Plénée-Jugon merci à M. et Mme Schwerer (22)

1685 - L'exil de Mlle de la Moussaye

03/11/2018
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    • Cette histoire est évoquée plusieurs décennies après les faits dans le dictionnaire de Moréli, dans l’édition de 1745, ainsi qu’au XIXe siècle, immanquablement romantisé par l’ouvrage de Pierre Margry en 1867. On ne peut que toucher à notre imaginaire lorsqu’on évoque la vie d’Anne Dieu-le-Veut. Cette bretonne née à Gourin en 1661 au caractère bien trempé, est déportée très jeune à Saint-Domingue pour peupler la colonie. Epouse de flibustier, veuve à deux reprises, elle embarque sur les navires de ses maris et participe activement à la vie à bord sans éprouver le besoin de se travestir. Devenue veuve de son second mari, elle se fait insulter par le flibustier Laurent de Graff. Anne va jusqu’à le défier au pied de son domicile armée d’un pistolet. Le coup part dans l’épée de Laurent, celui-ci fasciné par ce petit-bout de femme, la demande en mariage et s’installe sur l’Île de la Tortue. On entendra parler d’elle lors de sa captivité dans les prisons britanniques, réputée être une otage « difficile », elle sera libérée 3 ans plus tard à la demande de la France. Anne Dieu-le-veut décède à Cap-Français le 11 janvier 1710, âgée de 48 ans.

      Site : Festival Grain de Pirate
      Figurants : Les Tisseurs de Brume, Armutan, Folker le Bâtisseur, Damien et Alicia Pinel

1693 – La flibustière Anne Dieu-le-Veut vient demander des comptes à son futur Mari Laurent de Graff

20/08/2022
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1694 - Duguay-Trouin à Saint-Malo

22/07/2023
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1694 - Duguay-Trouin à Saint-Malo

22/07/2023
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1694 - Duguay-Trouin à Saint-Malo

22/07/2023
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1694 - Duguay-Trouin à Saint-Malo

22/07/2023
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1694 - Duguay-Trouin à Saint-Malo

22/07/2023
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    • L'histoire mouvementée de la "dame de fer", Croah houarn, comme la surnommaient les habitants du pays de Baud (56) s'est achevée en 1695 quand le comte Pierre de Lannion, gouverneur de Vannes décida de placer cette statue très ancienne dans les jardins de son château de Baud, à Quinipily. L'origine de cette statue fait débat, probablement réalisée à l'époque romaine, elle se tenait sur le site de Castennec, sur une colline coincée dans un méandre du Blavet mais à la rencontre de voies romaines d'importance. Vénus, Cybèle ou Isis, son identité n'est pas claire mais elle est particulièrement vénérée par la population locale qui y pratique des rites de fécondité et ceci jusqu'en 1660. L'année suivante, à la demande de l'évêque, elle est jetée dans le Blavet mais est récupérée par les paysans trois ans après. En 1670, la statue est mutilée et jetée de nouveau dans la rivière. Pierre de Lannion, féru d'antiquité, la retire pour la placer dans son jardin mais la fait retailler pour masquer tous les outrages du temps. Cette action n'a fait qu'amplifier le mystère sur ses origines.

      Modèle et costume : Antoine Prioux, Association Saint-Paul-du-Bois
      Site : Jardins de Quinipily - Baud (56)

1696 - Le comte de Lannion fait poser la statue de Vénus dans ses jardins de Quinipily à Baud

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    • En 1715, Louis XIV meurt et laisse la France criblée de dettes. Les Etats de Bretagne désapprouvent la politique fiscale menée par le Régent et la noblesse ne se remet pas du mépris affiché par le nouveau gouverneur de Bretagne.

      Beaucoup rêvent d’une république aristocratique bretonne. Le bras de fer est inévitable entre l’Etat et la province ce qui suscite l’intérêt de puissances étrangères comme l’Espagne et la création d’une association patriotique bretonne.

      Julien Louis de Lantivy, Comte du Coscro et Baron de Rostrenen, âgé de 50 ans, reçoit en son château du Coscro, Clément-Chrysogone de Guer, ombrageux marquis de Pontcallec, dépeint par l’historiographie comme grande gueule, fraudeur, et contrebandier notoire mais voilà, le personnage est charismatique. Ce dernier apparaît rapidement comme un des leaders de la conspiration jusqu’à l’incarner lui-même.

      Cependant, les désertions, les trahisons, la désorganisation, la corruption, ont raison de la révolte et les meneurs sont arrêtés et exécutés pour l’exemple à Nantes en 1720, le jugement est sévère car ils semblent être les boucs-émissaires du duc et de la duchesse du Maine, eux-mêmes impliqués dans une autre conspiration contre le Régent. L’excellent film « Que la fête commence » avec Noiret, Rochefort, Marielle, relate d’un point de vue les faits. L’aventureux comte de Lantivy est condamné par contumace, il est alors réfugié en Espagne et ses biens du Coscro sont confisqués au profit de sa nièce.

      Site : Château du Coscro - Lignol (56)
      Figurants : Guillaume André et Philbert Hemery
      Décor : Philbert Hemery

1718 - Pontcallec convainc Lantivy de prendre part à la conspiration

05/02/2022
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    • En 1715, Louis XIV meurt et laisse la France criblée de dettes. Les Etats de Bretagne désapprouvent la politique fiscale menée par le Régent et la noblesse ne se remet pas du mépris affiché par le nouveau gouverneur de Bretagne.

      Beaucoup rêvent d’une république aristocratique bretonne. Le bras de fer est inévitable entre l’Etat et la province ce qui suscite l’intérêt de puissances étrangères comme l’Espagne et la création d’une association patriotique bretonne.

      Julien Louis de Lantivy, Comte du Coscro et Baron de Rostrenen, âgé de 50 ans, reçoit en son château du Coscro, Clément-Chrysogone de Guer, ombrageux marquis de Pontcallec, dépeint par l’historiographie comme grande gueule, fraudeur, et contrebandier notoire mais voilà, le personnage est charismatique. Ce dernier apparaît rapidement comme un des leaders de la conspiration jusqu’à l’incarner lui-même.

      Cependant, les désertions, les trahisons, la désorganisation, la corruption, ont raison de la révolte et les meneurs sont arrêtés et exécutés pour l’exemple à Nantes en 1720, le jugement est sévère car ils semblent être les boucs-émissaires du duc et de la duchesse du Maine, eux-mêmes impliqués dans une autre conspiration contre le Régent. L’excellent film « Que la fête commence » avec Noiret, Rochefort, Marielle, relate d’un point de vue les faits. L’aventureux comte de Lantivy est condamné par contumace, il est alors réfugié en Espagne et ses biens du Coscro sont confisqués au profit de sa nièce.

      Site : Château du Coscro - Lignol (56)
      Figurants : Guillaume André et Philbert Hemery
      Décor : Philbert Hemery

1718 - Pontcallec convainc Lantivy de prendre part à la conspiration

05/02/2022
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    • En 1715, Louis XIV meurt et laisse la France criblée de dettes. Les Etats de Bretagne désapprouvent la politique fiscale menée par le Régent et la noblesse ne se remet pas du mépris affiché par le nouveau gouverneur de Bretagne.
      Beaucoup rêvent d’une république aristocratique bretonne. Le bras de fer est inévitable entre l’Etat et la province ce qui suscite l’intérêt de puissances étrangères comme l’Espagne et la création d’une association patriotique bretonne.
      Julien Louis de Lantivy, Comte du Coscro et Baron de Rostrenen, âgé de 50 ans, reçoit en son château du Coscro, Clément-Chrysogone de Guer, ombrageux marquis de Pontcallec, dépeint par l’historiographie comme grande gueule, fraudeur, et contrebandier notoire mais voilà, le personnage est charismatique. Ce dernier apparaît rapidement comme un des leaders de la conspiration jusqu’à l’incarner lui-même.
      Cependant, les désertions, les trahisons, la désorganisation, la corruption, ont raison de la révolte et les meneurs sont arrêtés et exécutés pour l’exemple à Nantes en 1720, le jugement est sévère car ils semblent être les boucs-émissaires du duc et de la duchesse du Maine, eux-mêmes impliqués dans une autre conspiration contre le Régent. L’excellent film « Que la fête commence » avec Noiret, Rochefort, Marielle, relate d’un point de vue les faits. L’aventureux comte de Lantivy est condamné par contumace, il est alors réfugié en Espagne et ses biens du Coscro sont confisqués au profit de sa nièce.

      Site : Château du Coscro - Lignol (56)
      Figurants : Guillaume André et Philbert Hemery
      Décor : Philbert Hemery

1718 - Pontcallec convainc Lantivy de prendre part à la conspiration

05/02/2022
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    • En 1734, à la cathédrale de Vannes, le sculpteur François Joseph de Lottemberg épouse Marie Ferrec, veuve en premières noces. Le repas de noces se déroule à la maison du couple rue Saint-Guenhaël. Le repas est festif et très arrosé au point que la servante et un convive tirent des coups de feu par la fenêtre, comme le veut la tradition. Commence alors, sous les fenêtres du couple, le charivari coutumier des remariages. La suite de l’histoire tourne mal. Après le vacarme des casseroles et les insultes adressées au couple, Lottemberg excédé et très aviné tire au hasard dans la foule. Le plomb atteint le postérieur du sieur de Francheville qui passait par hasard, une course-poursuite s’engage avec la maréchaussée et l’affaire se termine au Parlement de Bretagne.

1734 - Le Charivari

27/10/2019
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    • En 1734, à la cathédrale de Vannes, le sculpteur François Joseph de Lottemberg épouse Marie Ferrec, veuve en premières noces. Le repas de noces se déroule à la maison du couple rue Saint-Guenhaël. Le repas est festif et très arrosé au point que la servante et un convive tirent des coups de feu par la fenêtre, comme le veut la tradition. Commence alors, sous les fenêtres du couple, le charivari coutumier des remariages. La suite de l’histoire tourne mal. Après le vacarme des casseroles et les insultes adressées au couple, Lottemberg excédé et très aviné tire au hasard dans la foule. Le plomb atteint le postérieur du sieur de Francheville qui passait par hasard, une course-poursuite s’engage avec la maréchaussée et l’affaire se termine au Parlement de Bretagne.

      Modèles et costumes : Jérôme Lorinef, Isabelle Le Faucheur, Cécile Seveno, Will le Malandrin, Even Alain, Emilie Péan-Arnaud, Jérémy Péan, Yvonnig Touche, Les Tisseurs de Brume – Association Saint-Paul-du-Bois
      Site : Rue Saint-Guenhaël (56) – avec la participation du Salon de thé Le Sixtine

1734 - Le Charivari

27/10/2019
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    • En 1714, François Amédée Frézier avait ramené un pied de fraise du Chili et l’avait planté dans sa propriété de Plougastel. Ce dernier s’était multiplié par croisement spontané, mais l’expérience s’était soldée par un échec : le plant ramené était mâle et ne pouvait fructifier. En 1740, Frézier, venu à Brest diriger des travaux de fortification implante quelques nouveaux pieds au jardin botanique, annexé à l'hôpital maritime ; un habitant du hameau de Keraliou, aurait ensuite cultivé quelques pieds de « Blanche du Chili ». Quelques années plus tard, le botaniste Antoine Nicolas Duchesne croise un fraisier du Chili avec un fraisier de Virginie (de l'est de l'Amérique du Nord) obtenant le fruit que l’on déguste aujourd’hui.

      Modèles et costumes : Denis Herry et Olivier Rios - Association Saint-Paul-du-Bois
      Site : Jardins de l’abbaye de Daoulas (29)

1740 – François-Amédée Frézier fait planter un fraisier du Chili au jardin botanique de Brest

25/10/2019
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1740 – François-Amédée Frézier fait planter un fraisier du Chili au jardin botanique de Brest

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    • Marie-Louise Tromel, alias Marion du Faouët, âgée de vingt-quatre ans, écume depuis une année les chemins de Cornouaille, détroussant les bourgeois comme les paysans. Marion est la chef de bande de la compagnie Finefont comptant jusqu'à quarante hommes. Quatre filles naîtront de son mariage secret avec Henri Pezron issu de la petite noblesse. Même si généralement il n'y a pas effusion de sang, il ne fait pas bon rencontrer Marion et sa bande. Mais l'image du bon bandit à l'instar de celle de Robin des bois va créer la légende. La fin est moins glorieuse, Henri est condamné à mort en 1746, Marion en 1755 à Quimper et Guillaume Hémery meurt dans d'atroces souffrances en 1763.

      Modèles et costumes : Lorenzo Bello, Tiska Louve, Thomas Leleu - Midnight Première
      Site : Cascade de Saint-Herbot - Monts d’Arrée

1741 - Marion du Faouët et sa bande se divertissent après avoir dépouillé un noble de passage

09/05/2018
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    • Marie-Louise Tromel, alias Marion du Faouët, âgée de vingt-quatre ans, écume depuis une année les chemins de Cornouaille, détroussant les bourgeois comme les paysans. Marion est la chef de bande de la compagnie Finefont comptant jusqu'à quarante hommes. Quatre filles naîtront de son mariage secret avec Henri Pezron issu de la petite noblesse. Même si généralement il n'y a pas effusion de sang, il ne fait pas bon rencontrer Marion et sa bande. Mais l'image du bon bandit à l'instar de celle de Robin des bois va créer la légende. La fin est moins glorieuse, Henri est condamné à mort en 1746, Marion en 1755 à Quimper et Guillaume Hémery meurt dans d'atroces souffrances en 1763.

1741 - Marion du Faouët et Henri Pezron

09/05/2018
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    • La Bretagne a déjà été le point de départ du prétendant Stuart à la couronne britannique. En quittant Saint-Nazaire, Bonnie Prince Charlie a pu profiter du soutien de la riche communauté irlandaise de Nantes qui a pu armer un vaisseau transportant le chef jacobite et un corps expéditionnaire de 700 hommes. 3000 Ecossais rejoignent l’armée dans les Hébrides. Après plusieurs victoires contre les habits rouges Britanniques, l’aventure s’achève tragiquement à Culloden. En août 1746, une expédition est mise sur pied grâce aux armateurs irlandais Richard Butler et Antoine Walsh, de Saint-Malo et Nantes, qui mettent à disposition deux navires. Le 19 septembre, après de multiples péripéties, Charles-Édouard Stuart débarque à Roscoff avec Lochiel, chef du clan Cameron, et quelques partisans à bord de l'Heureux et du Prince de Conti, bâtiments commandés par les Malouins Thérouard de Beaulieu et Marion Dufresne. La chaloupe débarque le jeune Stuart, accueilli par Francois Alexis Prigent de la Portenoire et son épouse. Le retour du Prince est fêté à Morlaix, qui compte alors une importante communauté irlandaise.
      Figurants : SAOR ALBA - Glenn Harris, Ross Harris, Mathieu Heckenroth, Samuel Charles, Emmanuelle Blanchard, Pierre Frebault, Bezkad Kalan - Martin Thimothé - Mathieu Guelzec - Guillaume André - Roland Maillot – GWARD AN AOD : Kenan Jaouen, Audrey Baudrier, Claire Langellier, Jean-Côme Rio, Marine Baron -Carole et Jean-Jacques Guelzec – LES AMIS DE L’HISTOIRE : Raphaël, Aurélie et Louise Dudonné
      Costumes : Guillaume André – Saor Alba – La Costumerie de l’Arsenal – Association Saint-Paul-du-Bois – Les Amis de l’Histoire – La compagnie du Costume - Marie-Hélène Repetto
      Bateau : La Yole de Bantry « Droit de Cité » Association Gward An Aod
      Site : Fort de Port-Punhs – Gâvres – Syndicat Mixte des Dunes sauvages de Gâvres à Quiberon
      Assistants : Catherine Morio, Jean-Yves et Danièle Danielo, Carole, Jean-Jacques et Mathieu Guelzec et merci à tous les autres qui ont œuvré à la réalisation de cette photo notamment pour la logistique qui était colossale ! Nous travaillons sur cette photo depuis début janvier.
      Merci à Thierry Guiheneuf pour sa connaissance historique des faits.

1746 - Après la défaite de Culloden, Bonnie Prince Charlie débarque à Roscoff avec une dizaine de partisans à bord de l'Heureux

06/08/2022
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    • 7265 x 4087 pixels

1746 - Highlanders

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1746 - Highlanders

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1746 - Le serment à Bonnie Prince Charlie

06/08/2022
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1746 - Bonnie Prince Charlie

06/08/2022
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    • La Bretagne a déjà été le point de départ du prétendant Stuart à la couronne britannique. En quittant Saint-Nazaire, Bonnie Prince Charlie a pu profiter du soutien de la riche communauté irlandaise de Nantes qui a pu armer un vaisseau transportant le chef jacobite et un corps expéditionnaire de 700 hommes. 3000 Ecossais rejoignent l’armée dans les Hébrides. Après plusieurs victoires contre les habits rouges Britanniques, l’aventure s’achève tragiquement à Culloden. En août 1746, une expédition est mise sur pied grâce aux armateurs irlandais Richard Butler et Antoine Walsh, de Saint-Malo et Nantes, qui mettent à disposition deux navires. Le 19 septembre, après de multiples péripéties, Charles-Édouard Stuart débarque à Roscoff avec Lochiel, chef du clan Cameron, et quelques partisans à bord de l'Heureux et du Prince de Conti, bâtiments commandés par les Malouins Thérouard de Beaulieu et Marion Dufresne. La chaloupe débarque le jeune Stuart, accueilli par Francois Alexis Prigent de la Portenoire et son épouse. Le retour du Prince est fêté à Morlaix, qui compte alors une importante communauté irlandaise.
      Figurants : SAOR ALBA - Glenn Harris, Ross Harris, Mathieu Heckenroth, Samuel Charles, Emmanuelle Blanchard, Pierre Frebault, Bezkad Kalan - Martin Thimothé - Mathieu Guelzec - Guillaume André - Roland Maillot – GWARD AN AOD : Kenan Jaouen, Audrey Baudrier, Claire Langellier, Jean-Côme Rio, Marine Baron -Carole et Jean-Jacques Guelzec – LES AMIS DE L’HISTOIRE : Raphaël, Aurélie et Louise Dudonné
      Costumes : Guillaume André – Saor Alba – La Costumerie de l’Arsenal – Association Saint-Paul-du-Bois – Les Amis de l’Histoire – La compagnie du Costume - Marie-Hélène Repetto
      Bateau : La Yole de Bantry « Droit de Cité » Association Gward An Aod
      Site : Fort de Port-Punhs – Gâvres – Syndicat Mixte des Dunes sauvages de Gâvres à Quiberon
      Assistants : Catherine Morio, Jean-Yves et Danièle Danielo, Carole, Jean-Jacques et Mathieu Guelzec et merci à tous les autres qui ont œuvré à la réalisation de cette photo notamment pour la logistique qui était colossale ! Nous travaillons sur cette photo depuis début janvier.
      Merci à Thierry Guiheneuf pour sa connaissance historique des faits.

1746 - Après la défaite de Culloden, Bonnie Prince Charlie débarque à Roscoff avec une dizaine de partisans à bord de l'Heureux

06/08/2022
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    • 7360 x 4140 pixels
    • La Bretagne a déjà été le point de départ du prétendant Stuart à la couronne britannique. En quittant Saint-Nazaire, Bonnie Prince Charlie a pu profiter du soutien de la riche communauté irlandaise de Nantes qui a pu armer un vaisseau transportant le chef jacobite et un corps expéditionnaire de 700 hommes. 3000 Ecossais rejoignent l’armée dans les Hébrides. Après plusieurs victoires contre les habits rouges Britanniques, l’aventure s’achève tragiquement à Culloden. En août 1746, une expédition est mise sur pied grâce aux armateurs irlandais Richard Butler et Antoine Walsh, de Saint-Malo et Nantes, qui mettent à disposition deux navires. Le 19 septembre, après de multiples péripéties, Charles-Édouard Stuart débarque à Roscoff avec Lochiel, chef du clan Cameron, et quelques partisans à bord de l'Heureux et du Prince de Conti, bâtiments commandés par les Malouins Thérouard de Beaulieu et Marion Dufresne. La chaloupe débarque le jeune Stuart, accueilli par Francois Alexis Prigent de la Portenoire et son épouse. Le retour du Prince est fêté à Morlaix, qui compte alors une importante communauté irlandaise.
      Figurants : SAOR ALBA - Glenn Harris, Ross Harris, Mathieu Heckenroth, Samuel Charles, Emmanuelle Blanchard, Pierre Frebault, Bezkad Kalan - Martin Thimothé - Mathieu Guelzec - Guillaume André - Roland Maillot – GWARD AN AOD : Kenan Jaouen, Audrey Baudrier, Claire Langellier, Jean-Côme Rio, Marine Baron -Carole et Jean-Jacques Guelzec – LES AMIS DE L’HISTOIRE : Raphaël, Aurélie et Louise Dudonné
      Costumes : Guillaume André – Saor Alba – La Costumerie de l’Arsenal – Association Saint-Paul-du-Bois – Les Amis de l’Histoire – La compagnie du Costume - Marie-Hélène Repetto
      Bateau : La Yole de Bantry « Droit de Cité » Association Gward An Aod
      Site : Fort de Port-Punhs – Gâvres – Syndicat Mixte des Dunes sauvages de Gâvres à Quiberon
      Assistants : Catherine Morio, Jean-Yves et Danièle Danielo, Carole, Jean-Jacques et Mathieu Guelzec et merci à tous les autres qui ont œuvré à la réalisation de cette photo notamment pour la logistique qui était colossale ! Nous travaillons sur cette photo depuis début janvier.
      Merci à Thierry Guiheneuf pour sa connaissance historique des faits.

1746 - Après la défaite de Culloden, Bonnie Prince Charlie débarque à Roscoff avec une dizaine de partisans à bord de l'Heureux

06/08/2022
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1746 - La yole de la Royale

06/08/2022
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1746 - Highlanders

06/08/2022
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14/08/2022
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1758 - soldat de la Compagnie franche de la Marine face à Saint-Malo

07/11/2021
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1758 - Les cirières

07/11/2021
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1758 - La compagnie franche de la Marine

07/11/2021
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    • Septembre de 1758, nous sommes en pleine guerre de 7 ans, l'Amérique du Nord, l'Europe et l'océan indien sont à feu et à sang, disputés par les différentes puissances européennes. La guerre entre la France et le Royaume-Uni est avant tout maritime et les ports du Ponant sont en alerte maximale, surtout depuis le raid britannique sur Saint-Malo du mois de juin de la même année. Même si ce dernier n'a pas abouti, l'inquiétude qui en a résulté a poussé à redoubler la défense des côtes. En septembre, les français apprennent la préparation d'une nouvelle descente sur Saint-Malo, l'infanterie de marine réalise quelques exercices en attendant la confrontation.

      Modèles : Le Lys sous l'Erable.

1758 - La compagnie franche de la Marine en exercice de tir

07/11/2021
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1758 - La pause tabac du capitaine - Compagnie franche de la Marine

07/11/2021
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1758 - Le tour de garde à Saint-Malo d'un soldat de la Compagnie franche de la Marine.

07/11/2021
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    • Septembre de 1758, nous sommes en pleine guerre de 7 ans, l'Amérique du Nord, l'Europe et l'océan indien sont à feu et à sang, disputés par les différentes puissances européennes. La guerre entre la France et le Royaume-Uni est avant tout maritime et les ports du Ponant sont en alerte maximale, surtout depuis le raid britannique sur Saint-Malo du mois de juin de la même année. Même si ce dernier n'a pas abouti, l'inquiétude qui en a résulté a poussé à redoubler la défense des côtes. En septembre, les français apprennent la préparation d'une nouvelle descente sur Saint-Malo, l'infanterie de marine réalise quelques exercices en attendant la confrontation.

      Modèles : Le Lys sous l'Erable.

1758 - La compagnie franche de la Marine en exercice de tir

07/11/2021
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1760 - Quand reviendra t-il ?

07/11/2021
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06/02/2022
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    • La guerre de Sept ans opposant la France au Royaume-Uni voit arriver son lot d’exilés : c’est « le grand dérangement » de 1755. Des milliers d’Acadiens sont arrachés à leur terre d’Amérique. Les années suivantes, ils sont dispersés dans les ports anglais et français, et nombreux sont ceux qui croupissent dans les prisons britanniques jusqu’en 1763. La signature du traité de Paris met fin à la guerre. Il faut accueillir plus de trois mille cinq cents Acadiens et un appel est lancé aux intendants de toutes les provinces. Belle-Île est choisie, elle qui a tant souffert de l’occupation anglaise. C’est ainsi qu’en octobre 1765, trois cent soixante-trois Acadiens dont deux cent onze enfants arrivent et reçoivent des terres. Bien que la population ne soit pas toujours accueillante, les Acadiens s’installent dans une quarantaine de villages avec pour obligation d’y rester dix ans. Plus tard, plusieurs remettent le cap sur l’Amérique, les autres font souche sur l’île et nombreux sont les Bellilois actuels qui descendent des Acadiens de 1765.

      Modèles et costumes : Samuel Charles, Aurore Souleyras et Mewenn Charles
      Site : Pointe du Skeul – Belle-Île-En-Mer (56)

1765 - Une acre de lande – Les acadiens à Belle-Île

01/09/2018
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    • L’affaire de Bretagne a principalement opposé deux hommes : le procureur général du roi Louis-René Caradeuc de la Chalotais et le duc d’Aiguillon commandant en chef pour le roi en Bretagne. La guerre de Sept ans a ruiné le royaume, il faut lever de nouvelles taxes, qui ne sont approuvées ni par les Etats ni par le Parlement. Le bras de fer avec le roi commence et les tensions explosent. En 1765, la quasi-intégralité des parlementaires menée par La Chalotais décide de démissionner provoquant une crise sans précédent au siècle des Lumières.
      Emprisonné en 1765 avant d’être exilé à Saintes, La Chalotais est devenu le symbole des libertés bafouées par le despotisme. En 1774, au changement de règne, Louis XVI rappelle La Chalotais et en décembre 1776 décide par lettres patentes d’ériger la terre de Caradeuc en marquisat. La Chalotais est donc bien devenu en une dizaine d’années un authentique symbole politique. Les défenseurs des libertés bretonnes l’exaltent tout au long du XIXe siècle.

      Modèles et costumes : Jérôme Le Gentil et Cédric Chavin - Association Saint-Paul-du-Bois
      Site : Grand’ Chambre du Parlement de Bretagne – Rennes (35)

1765 - La démission des parlementaires bretons

23/10/2019
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    • Les sols ingrats des Monts d’Arrée obligent les hommes à trouver une autre manière de gagner leur vie. Les pilhaouerien, chiffonniers et colporteurs qui en sont originaires, font du troc avec les paysans. Articles manufacturés, vaisselle ou quincaillerie s’échangent contre des peaux, des métaux et surtout des chiffons destinés à la fabrication du papier. Ces produits sont revendus aux marchands des ports de la côte nord, Morlaix, Roscoff ou Landerneau. Le tintement de la vaisselle et le cri du colporteur font sortir les maîtresses des foyers. C’est avec elles qu’il traite essentiellement malgré leur méfiance. Au fil du temps ces marchands itinérants dont on ne sait rien, acquièrent un esprit d’entreprise, sont rapidement bilingues, colportant aussi des nouvelles du pays et des récits d’aventures qui fascinent les enfants.

1770 - Le Pilhaouer

20/02/2019
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    • Les sols ingrats des Monts d’Arrée obligent les hommes à trouver une autre manière de gagner leur vie. Les pilhaouerien, chiffonniers et colporteurs qui en sont originaires, font du troc avec les paysans. Articles manufacturés, vaisselle ou quincaillerie s’échangent contre des peaux, des métaux et surtout des chiffons destinés à la fabrication du papier. Ces produits sont revendus aux marchands des ports de la côte nord, Morlaix, Roscoff ou Landerneau. Le tintement de la vaisselle et le cri du colporteur font sortir les maîtresses des foyers. C’est avec elles qu’il traite essentiellement malgré leur méfiance. Au fil du temps ces marchands itinérants dont on ne sait rien, acquièrent un esprit d’entreprise, sont rapidement bilingues, colportant aussi des nouvelles du pays et des récits d’aventures qui fascinent les enfants.

      Modèle et costume : Nicolas Kretzer
      Site : Saint-Michel de Brasparts (29)

1770 - Le Pilhaouer

20/02/2019
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21/04/2022
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21/04/2022
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    • Depuis 1576, quiconque foule le sol de France devient libre, la couleur de la peau n’étant pas associée à la servitude. Dans les colonies, une politique d’exclusion raciale prend naissance avec le code Noir en 1685. Les premières lois visant les « libres de couleur » apparaissent en 1716 sous la pression des colons qui voient d’un mauvais œil le retour d’anciens esclaves devenus libres. Ces colons inventent le préjugé de couleur aux origines du racisme moderne, davantage un racisme biologique que culturel. En 1777, Louis XVI promulgue une interdiction à tous sujets […] d’amener dans notre royaume […] aucun Noir, mulâtre et autres gens de couleur, et de les y retenir à leur service. L’année suivante les mariages mixtes sont interdits. En 1776, les noirs sont un millier en Bretagne. Parmi eux, Jean-Pierre Sénateur, né esclave à la Martinique, acheté par le capitaine de Briqueville, arrivé en France en 1752 à l’âge de trois ans. Il passe toute sa vie à Brest en tant que laquais. A vingt-cinq ans, son maître l’autorise à se marier avec une Bretonne, ce qui l’affranchit automatiquement. Lorsque l’expulsion des Noirs est décidée, commencent des jours d’angoisse car le mariage est contesté par le procureur. La situation est soumise au ministre qui finalement décide de son maintien en métropole.

      Modèles et costumes : Tanguy Kazumba, Chloé Lemaçon - Aurore Charles et Samuel Charles
      Site : Notre-Dame du Folgoët (29)

1777 – Un couple menacé d’être séparé

16/03/2019
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08/04/2023
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08/04/2023
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    • A bord du « Saint-Esprit », navire de 80 canons, 900 membres d’équipage ont pour commandant La motte Piquet. En cas de blessure, ils portent leur espoir de survie en le chirurgien major Etienne Billard de l’hôpital de Brest. La bataille de Ouessant bat son plein. Dans l’infirmerie, l faut opérer à la chaine, sans hésitation trancher le bras, la jambe, recoudre à vif les plaies des marins à peine anesthésiés d’extraits végétaux, drogues dérisoires pour supporter la douleur. L’air est irrespirable, saturé d’odeur de sueur, de sang et de poudre. Les cadavres cohabitent avec les survivants dont les râles sont étouffés par les canonnades.

      Modèles et costumes : Association Scenistorics (François Drouyot, Marion Mondon, Pascal Bourumeau) et Association Hermione-Lafayette (Eble Teyssandier, Jonathan Stahl, Jean, Nicolas Verneau, Camille Dindon, Stely Li) - La Costumerie de l'Arsenal, Audrey Baudrier
      Site : L'Hermione - Rochefort

1778 – Un chirurgien à la bataille de Ouessant

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    • A bord du « Saint-Esprit », navire de 80 canons, 900 membres d’équipage ont pour commandant La motte Piquet. En cas de blessure, ils portent leur espoir de survie en le chirurgien major Etienne Billard de l’hôpital de Brest. La bataille de Ouessant bat son plein. Dans l’infirmerie, l faut opérer à la chaine, sans hésitation trancher le bras, la jambe, recoudre à vif les plaies des marins à peine anesthésiés d’extraits végétaux, drogues dérisoires pour supporter la douleur. L’air est irrespirable, saturé d’odeur de sueur, de sang et de poudre. Les cadavres cohabitent avec les survivants dont les râles sont étouffés par les canonnades.

      Modèles et costumes : Association Scenistorics (François Drouyot, Marion Mondon, Pascal Bourumeau) et Association Hermione-Lafayette (Eble Teyssandier, Jonathan Stahl, Jean, Nicolas Verneau, Camille Dindon, Stely Li) - La Costumerie de l'Arsenal, Audrey Baudrier
      Site : L'Hermione - Rochefort

1778 – Un chirurgien à la bataille de Ouessant

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    • A bord du « Saint-Esprit », navire de 80 canons, 900 membres d’équipage ont pour commandant La motte Piquet. En cas de blessure, ils portent leur espoir de survie en le chirurgien major Etienne Billard de l’hôpital de Brest. La bataille de Ouessant bat son plein. Dans l’infirmerie, l faut opérer à la chaine, sans hésitation trancher le bras, la jambe, recoudre à vif les plaies des marins à peine anesthésiés d’extraits végétaux, drogues dérisoires pour supporter la douleur. L’air est irrespirable, saturé d’odeur de sueur, de sang et de poudre. Les cadavres cohabitent avec les survivants dont les râles sont étouffés par les canonnades.

      Modèles et costumes : Association Scenistorics (François Drouyot, Marion Mondon, Pascal Bourumeau) et Association Hermione-Lafayette (Eble Teyssandier, Jonathan Stahl, Jean, Nicolas Verneau, Camille Dindon, Stely Li) - La Costumerie de l'Arsenal, Audrey Baudrier
      Site : L'Hermione - Rochefort

1778 - Le sourire du chirurgien

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1781 - Le chirurgien de l'Hermione

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    • En mer d’Iroise et Golfe de Gascogne, l’Hermione est en campagne depuis 6 mois et s’apprête à quitter Brest pour son port d’attache à Rochefort. En novembre 1779, la frégate capture deux navires de commerce anglais en provenance du Portugal, le Marie et le Pélican chargés de vin, de fruits secs et de sel. Leurs équipages, totalisant dix hommes, sont faits prisonniers. Avant toute prise, l’Hermione tire des coups de semonce exigeant la reddition pure et simple des bateaux. Depuis Un an la France est officiellement engagée dans la guerre d’Indépendance américaine auprès des insurgés contre la Grande-Bretagne. Avant d’effectuer son grand voyage vers les Etats-Unis, l’Hermione a escorté les navires marchands français et réalisé une longue campagne de surveillance.

      Modèles et costumes : Association Scenistorics (François Drouyot, Marion Mondon, Pascal Bourumeau) et Association Hermione-Lafayette (Eble Teyssandier, Jonathan Stahl, Jean, Nicolas Verneau, Camille Dindon, Stely Li) - La Costumerie de l'Arsenal, Audrey Baudrier
      Site : L'Hermione - Rochefort

1779 – Coup de semonce de l’Hermione contre le navire anglais le Pélican

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    • Armand Tuffin de la Rouërie est un personnage atypique. Originaire de Fougères, il reçoit l’éducation propre à la noblesse de son temps et entre à Versailles au régiment des gardes-françaises où les plaisirs prennent le pas sur le service. Aventure amoureuse et duel lui valent la colère du roi, l’obligeant à s’exiler. Sa carrière militaire est brisée. Franc-maçon, acquis aux idées de la Révolution américaine, aventurier dans l’âme, La Rouërie est désireux de se racheter. Le congrès américain, séduit par ce personnage, le fait colonel. Il se distingue pendant toutes les campagnes et devient général en 1783. C’est l’année où le traité de Paris met fin à la guerre, il embarque sur le Comte d’Estaing qui le ramène en France où il débarque à Nantes en 1784. Il continue à correspondre avec son ami Georges Washington. Les années passent, il échoue à réintégrer l’armée. En 1789, libéral et royaliste, il adhère dans un premier temps aux réformes mais s’oppose à la suppression des lois et statuts de la Bretagne. L’année suivante, il rallie la contre-révolution en créant l’Association bretonne afin de lever une armée. Trahi, malade, la Rouërie meurt en 1793 sans avoir pu mener à bien son projet.

      Modèles et costumes : Gonzague Caudard, Ingwenog Jaouen, Yann-Tanguy Atienza, Audrey Baudrier, Julien Artaud et Eble Teyssandier - Nicolas Kretzer et La Costumerie de l'Arsenal
      Site : Quai de la Fosse à Nantes (44), Frégate Hermione de l’Association HERMIONE – LA FAYETTE - merci à Tiphaine Gautier

1784 – Le marquis de la Rouërie, héros de la guerre d’Indépendance américaine, rentre à Nantes.

26/05/2019
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    • Armand Tuffin de la Rouërie est un personnage atypique. Originaire de Fougères, il reçoit l’éducation propre à la noblesse de son temps et entre à Versailles au régiment des gardes-françaises où les plaisirs prennent le pas sur le service. Aventure amoureuse et duel lui valent la colère du roi, l’obligeant à s’exiler. Sa carrière militaire est brisée. Franc-maçon, acquis aux idées de la Révolution américaine, aventurier dans l’âme, La Rouërie est désireux de se racheter. Le congrès américain, séduit par ce personnage, le fait colonel. Il se distingue pendant toutes les campagnes et devient général en 1783. C’est l’année où le traité de Paris met fin à la guerre, il embarque sur le Comte d’Estaing qui le ramène en France où il débarque à Nantes en 1784. Il continue à correspondre avec son ami Georges Washington. Les années passent, il échoue à réintégrer l’armée. En 1789, libéral et royaliste, il adhère dans un premier temps aux réformes mais s’oppose à la suppression des lois et statuts de la Bretagne. L’année suivante, il rallie la contre-révolution en créant l’Association bretonne afin de lever une armée. Trahi, malade, la Rouërie meurt en 1793 sans avoir pu mener à bien son projet.

      Modèles et costumes : Gonzague Caudard, Ingwenog Jaouen, Yann-Tanguy Atienza, Audrey Baudrier, Julien Artaud et Eble Teyssandier - Nicolas Kretzer et La Costumerie de l'Arsenal
      Site : Quai de la Fosse à Nantes (44), Frégate Hermione de l’Association HERMIONE – LA FAYETTE - merci à Tiphaine Gautier

1784 – Le marquis de la Rouërie, héros de la guerre d’Indépendance américaine, rentre à Nantes.

26/05/2019
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22/01/2022
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    • Au château de Kerlevenan, Sarzeau, 1789, avant que l’orage révolutionnaire n’éclate, la famille de Gouvello est le témoin des évolutions culturelles du XVIIIe siècle. Le marquis Joseph Armand de Gouvello, rencontre à la cour de Versailles sa future épouse Catherine de Peyrac, née à Saint-Domingue. Elle est la fille de l’intendant du roi au Port-au-Prince. Le couple se marie en 1780. Pour son épouse, Le marquis construit à Kerlévénan un château dans le nouveau style néoclassique, il est achevé à la veille de la Révolution. Pour illustrer ce nouvel intérêt porté à la nature, la famille prend une collation en plein air : du thé de Chine, du café de Bourbon et du sucre d’Amérique dans de la vaisselle de la Compagnie des Indes. Pour les vêtements et le mobilier, le choix se porte sur des cotons imprimés, les fameuses indiennes, et des soies de Chine. Tous ces produits exotiques en provenance de Nantes et Lorient, révèlent une culture de l’outre-mer presque naturelle en Bretagne dans les milieux bourgeois et aristocratiques car plus précoce qu’ailleurs.

      Modèles et costumes : Rose de Lanval, Déborah Germain, Oriana Sarrault, Vincent Germain, Guillaume Winisdorffer et Marc Lehuédé.
      Site : Château de Kerlevenan – Sarzeau (56)

1789 - Antique, Nature et Exotisme

18/08/2017
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    • Cette famille aristocratique bretonne de la fin du XVIIIe prend une collation dans le cabinet : du thé de Chine, du café de Bourbon et du sucre d’Amérique dans de la vaisselle de la Compagnie des Indes. Pour les vêtements et le mobilier, le choix se porte sur des cotons imprimés, les fameuses indiennes, et des soies de Chine. Tous ces produits exotiques en provenance de Nantes et Lorient, révèlent une culture de l’outre-mer presque naturelle en Bretagne dans les milieux bourgeois et aristocratiques car plus précoce qu’ailleurs.

1789 - Antique, Nature et Exotisme

18/08/2017
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    • Au château de Kerlevenan, Sarzeau, 1789, avant que l’orage révolutionnaire n’éclate, la famille de Gouvello est le témoin des évolutions culturelles du XVIIIe siècle. Le marquis Joseph Armand de Gouvello, rencontre à la cour de Versailles sa future épouse Catherine de Peyrac, née à Saint-Domingue. Elle est la fille de l’intendant du roi au Port-au-Prince. Le couple se marie en 1780. Pour son épouse, Le marquis construit à Kerlévénan un château dans le nouveau style néoclassique, il est achevé à la veille de la Révolution. Le boudoir est daté de 1789 et est dans le plus pur style néo-classique.

      Modèles et costumes : Rose de Lanval, Déborah Germain, Oriana Sarrault, Vincent Germain, Guillaume Winisdorffer et Marc Lehuédé.
      Site : Château de Kerlevenan – Sarzeau (56)

1789 - Lecture au boudoir

18/08/2017

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