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Morbihan
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Julien Danielo
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Calvaire de Guehenno
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Construit au XVIIIe siècle, le château est au cœur d’un espace domanial aménagé dès le Moyen Âge. En 1703, la seigneurie de Bignan est rachetée par les frères Daniel et Laurent Hogguer, de riches banquiers suisses résidant à Paris et prêtant régulièrement de l’argent à la Compagnie des Indes. En 1710, ils font appel à l’architecte vannetais Olivier Delourme pour la construction du château. La famille Hogguer reste propriétaire du Domaine jusqu’en 1732. Après différents changements de propriétaire, le Domaine est racheté en 1872 par le comte Paul-Henri Lanjuinais, maire de Bignan, député puis président du Conseil général du Morbihan. Celui-ci fait du château sa résidence principale et entreprend des travaux considérables sous la direction de l’architecte parisien Ernest Trilhe.
30/04/2014
Julien Danielo
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22/02/2014
Julien Danielo
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Le village de Kernascléden (situé en Bretagne, dans le département du Morbihan) possède une charmante église gothique. Celle-ci est ornée de plusieurs fresques, qui portent notamment sur la vie de la Vierge et sur l'Enfer. Plus intéressant pour nous, elle possède aussi une danse macabre, peinte vers 1440-1460. De cette oeuvre, il ne reste malheureusement que quelques fragments; certains de piètre qualité, d'autres ayant conservé beaucoup d'éclat malgré le passage des siècles. En novembre 2003, j'ai eu la chance d'admirer de mes propres yeux cette fresque - ravissante bien qu'abîmée - qui a fait l'objet d'une restauration ces dernières années. Ces travaux ont permis de mettre au jour certains détails...La fresque débute avec un prédicateur. Debout dans sa chaire, il tient dans ses mains un parchemin illisible. À ses pieds, un squelette joue de la trompette. Suit la danse, qui se composait fort probablement de 15 personnages et de 16 squelettes (plusieurs ont aujourd'hui disparu):..fresque Kernascléden partie 11- Avant la restauration de la fresque, le premier vivant prêtait à confusion. On ne voyait rien de sa tête. En revanche, on distinguait une croix latine à une seule branche. Bien que la croix papale en possède trois, on croit aujourd'hui que ce personnage représenterait le Saint Pontife. Ce ne serait pas la première danse macabre où le pape est présenté avec une croix de forme inhabituelle: sur les fresques de Paris et Bâle, il porte une croix à double traverse. À Berlin, il n'arbore pas de croix, mais une crosse pareille à celle de tous les autres ecclésiastiques. En tous cas, à Kernascléden, la restauration a révélé que sa coiffe est vraiment une tiare, ce qui règle la question de son identité...fresque Kernascléden partie 12 et 3- La Mort semble offrir quelque chose de sa main droite au vivant situé à gauche. Effrayé par l'offrande, celui-ci a un mouvement de recul. Ce personnage est coiffé d'une couronne. Est-elle triple, comme celle que portaient les empereurs? Les siècles ont effacé ce détail. Si la couronne est simple, il s'agirait alors plutôt d'un roi. Ou d'un duc. À la création de l'oeuvre, soit à la moitié du 14e siècle, le duché de Bretagne n'était pas encore rattaché à la France; il est donc possible que l'artiste, par esprit patriotique, ait décidé de faire fi de la hiérarchie royale et de peindre son duc avant le roi. Fait étrange: en troisième position se trouve un autre laïque, alors que devrait suivre un ecclésiatique. Ce personnage, qui porte aussi une couronne, est possiblement un roi. Ou un duc!..fresque Kernascléden partie 14- Malgré que ce personnage manque à moitié, il ne fait aucun doute qu'il représente un cardinal. Le squelette à sa gauche le saisit par le bras, alors que celui à sa droite pose sa main sur son épaule...fresque Kernascléden partie 15- L'absence de texte rend difficile l'identification de ce danseur. Comme il porte une genouillère sur sa jambe droite, il pourrait être le chevalier. Malheureusement, on n'aperçoit aucune autre pièce d'armure, aucune épée. S'agirait-il de l'écuyer?..fresque Kernascléden partie 16- Il est pratiquement impossible d'identifier avec exactitude le sixième vivant. On distingue une soutane; c'est donc un ecclésiastique. Archévêque, évêque ou abbé? Étant donné le nombre réduit de danseurs et la position du personnage dans la farandole, il est logique de croire que c'est un évêque...fresque Kernascléden partie 17- Seulement le haut du corps est visible. Cela suffit pour constater que ce vivant porte une fiole dans sa main gauche: c'est donc le médecin. Le squelette qui l'accompagne à gauche est drapé dans un linceul...fresque Kernascléden partie 18 et 9 - Le huitième danseur (à gauche) est le bailli. On le reconnaît facilement à sa coiffe particulière, qui ressemble vaguement à un turban. Encore une fois, l'alternance ecclésiatique-laïque est brisée, puisque le bailli n'est pas membre du clergé. Quant au neuvième vivant, dont il reste seulement une jambe, impossible de deviner sa classe sociale...fresque Kernascléden partie 110 et 11- Derechef, il n'est pas possible de connaître précisément la classe sociale de ces vivants dont on ne voit que les jambes. Celui de gauche est probablement un laïque, car ses vêtements sont courts. Celui de droite, qui porte une soutane, appartient sans doute au clergé...fresque Kernascléden partie 112- Incroyable, mais vrai! Même si on ne voit à cet endroit que la partie inférieure de la fresque, il est possible d'identifier ce vivant. C'est le paysan; on le devine grâce à ses chaussures et à la tête de sa houe...13 à 15- Après le paysan, la danse macabre disparaît entièrement jusqu'à sa scène de conclusion, qui représente la Mort. Il est permis de croire qu'il se trouvait trois personnages dans cet espace vide. En moyenne, chaque couple mort-vivant occupe un espace d'environ 60 cm; l'espace dépourvu de fresques en mesure 185. En se basant sur d'autres danses macabres, on peut supposer que cette oeuvre comprenait aussi un ermite, un femme et une enfant...fresque Kernascléden partie 116- Cette danse macabre se conclut avec un squelette dont seul le haut du corps est visible. Il tient dans sa main gauche ce qui semble être un faisceau de javelots. Il n'est pas étrange de conclure une danse macabre avec un squelette armé; cependant, ce motif se retrouve surtout dans les oeuvres italiennes, comme celles de Carisolo ou Pinzolo...
11/02/2015
Julien Danielo
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Situé dans le fond du Val Sans Retour, l’Arbre d’Or est une œuvre d’art créé par François DAVIN..En 1990, un terrible incendie à dévasté plus de 400 ha de landes. Cet arbre recouvert de 90 grammes d’Or symbolise la Renaissance de la Forêt. Il est entouré de 5 arbres calcinés qui représentent la disparition de la nature..
09/11/2014
Julien Danielo
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Julien Danielo
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Jubé de style renaissance construit probablement juste après la fin de la réalisation de la charpente en 1557. Le charpentier serait selon certaines sources nommé Bizeul.
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Construit au XVIIIe siècle, le château est au cœur d’un espace domanial aménagé dès le Moyen Âge. En 1703, la seigneurie de Bignan est rachetée par les frères Daniel et Laurent Hogguer, de riches banquiers suisses résidant à Paris et prêtant régulièrement de l’argent à la Compagnie des Indes. En 1710, ils font appel à l’architecte vannetais Olivier Delourme pour la construction du château. La famille Hogguer reste propriétaire du Domaine jusqu’en 1732. Après différents changements de propriétaire, le Domaine est racheté en 1872 par le comte Paul-Henri Lanjuinais, maire de Bignan, député puis président du Conseil général du Morbihan. Celui-ci fait du château sa résidence principale et entreprend des travaux considérables sous la direction de l’architecte parisien Ernest Trilhe.
30/04/2014
Julien Danielo
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La Semaine du Golfe 2015
15/05/2015
Julien Danielo
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Ruiné à la Révolution, le château de la Sauldraye est reconstruit, en partie sur les anciennes fondations, au 19e siècle. Une tour carrée et un pavillon crénelé semblent avoir été ajoutés autour de 1900...La seigneurie de la Sauldraye a donné son nom à une famille qui a transmis cette terre aux Callac. Jean de Callac et son épouse Jacquette de Kermeno rebâtirent le Château au début du XVIe siècle. Ce château était occupé en 1644 par la famille La Poterie. Vers 1850, il était en ruines: porte d'entrée à mâchicoulis sur corbelets et tourelle polygonale à gauche, corps de logis du XVIe, fenêtre carrée, trois écussons aux armes de Callac et de La Sauldraye, de Sérent & de Brignac. Depuis 1870, la Sauldraye appartient à la famille Le Blanc. On peut encore voir une porte et une poterne en plein cintre mouluré, surmontées de mâchicoulis et accostées d'une tourelle polygonale avec meurtrière pour couleuvrine à la base. Le corps de logis est orné de personnages, animaux et écussons.. Ces beaux vestiges sont visibles extérieurement car le domaine ne se visite pas..
30/04/2014
Julien Danielo
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Le parc du Domaine de Kerguéhennec est un lieu de référence en matière de présentation de la sculpture contemporaine. Créé à partir de 1986 à l’initiative du Ministère de la culture, de la Drac Bretagne et du Frac Bretagne, le parc de sculptures réunit plus d’une vingtaine d’œuvres d’artistes majeurs. En écho ou en contrepoint, s’instaure une rencontre entre l’art et le paysage. Les œuvres, qui, pour l’essentiel, ont été réalisées spécifiquement pour le parc dans le cadre de commandes, proviennent de différentes collections publiques : Fonds national d’art contemporain, Frac Bretagne et Département du Morbihan. Deux parcours sont proposés aux visiteurs, au Sud et au Nord du château.