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Ille-et-Vilaine
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La Grand'Chambre est la pièce la mieux conservée du palais. Protégée de l'incendie par les autres salles, elle a en outre bénéficié de la protection d'un lit de briques réfractaires, situé entre le plafond et la charpente, installé lors d'une restauration par l'architecte Laloy au XIXe.
Le plafond à caissons (flotté de Paris jusqu'à Rennes lors de sa construction) et toutes les peintures le composant est conçu par Charles Errard en juin 1656 : il fournit des dessins pour l'ensemble du décor et des tapisseries. C'est Noël Coypel qui s'occupe de la réalisation de la totalité des peintures d'après les indications de Errard. Elles arrivent par bateaux à Rennes en 1662 et l'ensemble du plafond est achevé en 1665.
Le plafond est un ensemble de peintures organisées autour d'une œuvre hexagonale centrale : La Justice, ou Minerve. Quatre médaillons circulaires sur chaque coin du plafond (La Justice arrachant son masque à la Fraude, La Piété et la Foi du Serment, Minerve chassant la Calomnie, L'Autorité de la Loi) sont reliés par des caissons intermédiaires (La France protégeant la Justice et La Bretagne protégeant L'Innocence) sur le petit côté de la salle. Sur le grand côté, deux tableaux oblongs encadrent l'octogone central : La Sincérité et La Félicité publique. Entre ceux-ci et les médaillons, on trouve quatre tableaux trapézoïdaux mettant en scène la justice et peint sur bois en camaïeu sur fond d'or par Charles Errard. Le décor est un précieux témoignage des décors monumentaux officiels (hors châteaux et palais privés ou royaux) du XVIIe, les exemplaires parisiens ou autres ayant le plus souvent disparu.
Des loges ont été aménagées spécialement en cas de visites royales (mais ceux-ci ne les employèrent jamais). Sur les murs, une tapisserie représente une abeille et la lettre N, symboles de Napoléon III. Au fond de la salle, une unique tapisserie, rescapée de l'incendie de 1994, représente la mort du connétable Du Guesclin. En 1997, pour comble de malheur, l'incendie de l'atelier de restauration Bobin, où la moitié des tapisseries avait été envoyée, les anéantit complètement. La moitié préservée est pour l'heure conservée au Mobilier national. Il s'agissait d'un ensemble de tapisseries d'époque 1900, retraçant l'histoire de la Bretagne et réalisées d'après les cartons d'Édouard Toudouze et Auguste-François Gorguet par la manufacture des Gobelins. Les cartons ayant été retrouvés, il sera possible de retisser l'ensemble mais le carnet de commande de la manufacture des Gobelins est pour l'instant complet pour de nombreuses années.
La Grand’Chambre
09/05/2014
Auteur Photographe
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La porte mordelaise note 1 est un châtelet d'entrée, vestige des remparts de Rennes. Son emplacement date du IIIe siècle, à la création des premiers remparts, mais son architecture date principalement du XVe siècle. Il s’agissait de l’entrée principale de la ville de Rennes.
Elle tient son nom de la ville de Mordelles, fief important dès le XIe siècle vers lequel donne la porte. Les futurs ducs devaient prêter serment devant cette entrée, elle est ainsi parfois nommée porte royale, porte ducale ou porte épiscopale.
La rue de la Porte Mordelaise
09/05/2014
Auteur Photographe
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Julien Danielo
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Un premier château daté du XIVème siècle est construit à cet emplacement dans le but d'assurer la défense avancée de Montfort, par son côté ouest. La seigneurie du Breil, avec droit de haute justice sera la propriété successive des seigneurs du Breil (1480) puis Gedouin de la Dobiaye, du pont d'Eschevilly, Becdelièvre de la Busnelaye, Huchet de Cintré et Barbier d'Antin. .. Du temps de sa puissance, outre l'ancien manoir et ses dépendances, le Breil possédait une chapelle, un colombier, des vergers et des bois, mais aussi les métairies de la Barre, de la Porte du Breuil, de Launay, du Verger, de la Ville-Herviette, de la Garenne, ainsi qu'un moulin à eau sur les bords du Meu. .. Reconstruit à la fin du XIXème siècle, le château de style néo-classique est détruit par un incendie, dans la nuit du 27 au 28 juin 1903, perdant ses toîtures et ne conservant que ses murs flanqués de quatre grosses tours lui donnant son actuel aspect mystérieuxSa dernière propriétaire le lèguera en 1947 à la congrégation religieuse de Notre-Dame du Vieux-Cours. Il sera revendu en 1992 à une famille d'Iffendic.